L'agence a précisé que ce "cas humain confirmé de mpox clade 1b" avait été détecté en mars et que tous les contacts de cette personne avaient fait l'objet d'un suivi médical.
Originaire du nord-est de l'Angleterre, cette personne n'a "aucun antécédent de voyage ni lien avec des cas précédemment confirmés au Royaume-Uni", précise l'agence dans son communiqué.
Elle a dit enquêter sur la chaine de transmission, assurant toutefois que "le risque pour la population demeure faible".
Nouveau variant du mpox : quels sont les risques ?
Moins de 10 cas depuis octobre
Moins de 10 cas de mpox clade 1b ont été recensés en Angleterre depuis octobre, selon l'agence.
Le mpox est causé par un virus de la même famille que la variole, qui peut être transmis à l'homme par des animaux infectés mais peut également se transmettre d'un humain à l'autre par contact physique étroit.
La maladie, détectée pour la première fois chez l'humain en 1970 en RDC (ex-Zaïre), entraîne de la fièvre, des douleurs musculaires et de larges lésions cutanées semblables à des furoncles, et peut être mortelle.
Elle a deux sous-types -- clade 1 et clade 2. Le virus, longtemps endémique en Afrique centrale, a défrayé la chronique en mai 2022 lorsque le clade 2 s'est propagé à travers le monde, affectant principalement les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.
Près de 128.000 cas de mpox ont été confirmés en laboratoire dans 130 pays depuis lors, y compris 281 décès, selon les données les plus récentes de l'OMS.
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