Amis d'enfance, ils ont réalisé un film sur leur vie
C’est l’histoire de deux amis d’enfance qui ont décidé de faire un film sur leur propre vie. On a rencontré Pablo Cotten et Joseph Rozé qui ont réalisé le long métrage "La Récréation de juillet", en salle mercredi 10 juillet.
Des souvenirs d'enfance au cœur du scénario
Pablo Cotten explique : "Joseph et moi, on se connaît depuis qu'on est nés. On est allés à l'école ensemble. Et donc on a tous nos souvenirs d'enfance en même temps." Leur amitié de longue date les a inspirés à écrire un scénario autobiographique qu'ils ont ensuite adapté pour le rendre plus universel. "On a essayé de rendre le film le plus universel possible, sur notre génération, sur la vie et la mort aussi, dans lequel on a mis enfin, voilà, un film plein de fantasmes de cinéma", mentionne Pablo Cotten.
Avec Marion, programmatrice de cinéma
Un défi de production relevé avec créativité
Tourner un long métrage avec un budget limité n'était pas une mince affaire. "On devait écrire un film vraiment pas trop cher et faisable tout de suite", raconte Pablo Cotten. Mais les contraintes ont stimulé leur créativité. Ils ont choisi de situer l'action dans un collège, offrant de multiples possibilités visuelles à explorer. Une scène avec des avions de chasse a failli être abandonnée faute de moyens, jusqu'à ce que la répétition du défilé du 14 juillet leur offre l'opportunité rêvée de capturer ces plans à l'improviste.
Interview cinéma avec Raphaël Quenard
Revivre l'ambiance du collège pour le tournage
En revisitant le collège où ils ont tourné, les réalisateurs ont été submergés par les souvenirs. "On a quand même des sensations d'enfance qui reviennent d'un coup", confie Pablo Cotten. Ils ont recréé l'atmosphère des lieux en transformant les salles de classe, ajoutant des détails comme de la fumée factice qui ont même alerté les riverains. "C'était drôle", se remémore Joseph Rozé. Malgré la nostalgie, le défi de réaliser leur premier long métrage pesait sur leurs épaules. "Il y avait un truc un peu lourd, de responsabilité, de se dire : on a une chance incroyable, il faut pas qu'on se rate."
Des souvenirs d'enfance au cœur du scénario
Pablo Cotten explique : "Joseph et moi, on se connaît depuis qu'on est nés. On est allés à l'école ensemble. Et donc on a tous nos souvenirs d'enfance en même temps." Leur amitié de longue date les a inspirés à écrire un scénario autobiographique qu'ils ont ensuite adapté pour le rendre plus universel. "On a essayé de rendre le film le plus universel possible, sur notre génération, sur la vie et la mort aussi, dans lequel on a mis enfin, voilà, un film plein de fantasmes de cinéma", mentionne Pablo Cotten.
Avec Marion, programmatrice de cinéma
Un défi de production relevé avec créativité
Tourner un long métrage avec un budget limité n'était pas une mince affaire. "On devait écrire un film vraiment pas trop cher et faisable tout de suite", raconte Pablo Cotten. Mais les contraintes ont stimulé leur créativité. Ils ont choisi de situer l'action dans un collège, offrant de multiples possibilités visuelles à explorer. Une scène avec des avions de chasse a failli être abandonnée faute de moyens, jusqu'à ce que la répétition du défilé du 14 juillet leur offre l'opportunité rêvée de capturer ces plans à l'improviste.
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Revivre l'ambiance du collège pour le tournage
En revisitant le collège où ils ont tourné, les réalisateurs ont été submergés par les souvenirs. "On a quand même des sensations d'enfance qui reviennent d'un coup", confie Pablo Cotten. Ils ont recréé l'atmosphère des lieux en transformant les salles de classe, ajoutant des détails comme de la fumée factice qui ont même alerté les riverains. "C'était drôle", se remémore Joseph Rozé. Malgré la nostalgie, le défi de réaliser leur premier long métrage pesait sur leurs épaules. "Il y avait un truc un peu lourd, de responsabilité, de se dire : on a une chance incroyable, il faut pas qu'on se rate."