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Agressions et crimes sexuels dans l'Église : des religieuses sortent du silence

ARTE a recueilli leur parole dans un documentaire à découvrir le 5 mars.
Publié le
19
/
02
/
2019

Les témoignages des religieuses


Dans un documentaire diffusé par ARTE, des religieuses partagent leurs expériences douloureuses liées aux abus sexuels au sein de l'Église. Une des intervenantes exprime sa souffrance en disant : "Je souffre beaucoup qu'on ne parle jamais des femmes abusées". Elle souligne l'importance de la parole et de la reconnaissance, affirmant que depuis que le pape a commencé à aborder ces sujets, elle se sent mieux.

Les chiffres accablants des agressions sexuelles dans l'Église

Elle décrit ce changement comme un soulagement, évoquant un "énorme couvercle se soulevant" qui l'a longtemps enfermée dans le silence. Ces témoignages révèlent un besoin urgent de reconnaissance et de soutien pour les femmes victimes au sein de l'Église. Une autre religieuse mentionne que "c'est inconcevable" qu'on puisse lui priver de sa chasteté, surtout par un prêtre ayant fait le même vœu. Ce constat met en lumière la complexité et la douleur de ces situations, où la confiance est trahie par ceux qui sont censés être des guides spirituels.


Le silence et la culpabilité


Le silence qui entoure ces abus est un thème récurrent dans les témoignages. Une des religieuses explique que "dans le silence, il n'y a pas vraiment de mots pour en parler". Cela crée un environnement où les victimes se sentent isolées et coupables. Elle souligne la difficulté de dénoncer un prêtre, en déclarant : "C'est difficile d'aller jusqu'à dire bah voilà ce que l'un de vos prêtres fait". Cette peur de la stigmatisation et de la répercussion sur leur vie spirituelle contribue à maintenir le silence autour de ces abus.

Mémoire traumatique : victime d'un prêtre pédocriminel, Mathilde témoigne

Les conséquences psychologiques de ces expériences sont dévastatrices. Une religieuse témoigne : "Je suis complètement détruite de la tête aux pieds", illustrant la souffrance profonde que ces abus engendrent. Elle évoque également la culpabilité ressentie par les victimes, qui se sentent responsables de la transgression. Enfin, elle souligne l'absence d'une opinion publique sur les abus sexuels des religieuses par des prêtres, affirmant : "Il n'y a pas d'opinion publique, elle est à construire". Ce constat met en évidence la nécessité de briser le silence et de créer un dialogue autour de ces questions cruciales.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].

Agressions et crimes sexuels dans l'Église : des religieuses sortent du silence

ARTE a recueilli leur parole dans un documentaire à découvrir le 5 mars.
Publié le
19
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02
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Les témoignages des religieuses


Dans un documentaire diffusé par ARTE, des religieuses partagent leurs expériences douloureuses liées aux abus sexuels au sein de l'Église. Une des intervenantes exprime sa souffrance en disant : "Je souffre beaucoup qu'on ne parle jamais des femmes abusées". Elle souligne l'importance de la parole et de la reconnaissance, affirmant que depuis que le pape a commencé à aborder ces sujets, elle se sent mieux.

Les chiffres accablants des agressions sexuelles dans l'Église

Elle décrit ce changement comme un soulagement, évoquant un "énorme couvercle se soulevant" qui l'a longtemps enfermée dans le silence. Ces témoignages révèlent un besoin urgent de reconnaissance et de soutien pour les femmes victimes au sein de l'Église. Une autre religieuse mentionne que "c'est inconcevable" qu'on puisse lui priver de sa chasteté, surtout par un prêtre ayant fait le même vœu. Ce constat met en lumière la complexité et la douleur de ces situations, où la confiance est trahie par ceux qui sont censés être des guides spirituels.


Le silence et la culpabilité


Le silence qui entoure ces abus est un thème récurrent dans les témoignages. Une des religieuses explique que "dans le silence, il n'y a pas vraiment de mots pour en parler". Cela crée un environnement où les victimes se sentent isolées et coupables. Elle souligne la difficulté de dénoncer un prêtre, en déclarant : "C'est difficile d'aller jusqu'à dire bah voilà ce que l'un de vos prêtres fait". Cette peur de la stigmatisation et de la répercussion sur leur vie spirituelle contribue à maintenir le silence autour de ces abus.

Mémoire traumatique : victime d'un prêtre pédocriminel, Mathilde témoigne

Les conséquences psychologiques de ces expériences sont dévastatrices. Une religieuse témoigne : "Je suis complètement détruite de la tête aux pieds", illustrant la souffrance profonde que ces abus engendrent. Elle évoque également la culpabilité ressentie par les victimes, qui se sentent responsables de la transgression. Enfin, elle souligne l'absence d'une opinion publique sur les abus sexuels des religieuses par des prêtres, affirmant : "Il n'y a pas d'opinion publique, elle est à construire". Ce constat met en évidence la nécessité de briser le silence et de créer un dialogue autour de ces questions cruciales.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].

Agressions et crimes sexuels dans l'Église : des religieuses sortent du silence

ARTE a recueilli leur parole dans un documentaire à découvrir le 5 mars.
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19
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Les témoignages des religieuses


Dans un documentaire diffusé par ARTE, des religieuses partagent leurs expériences douloureuses liées aux abus sexuels au sein de l'Église. Une des intervenantes exprime sa souffrance en disant : "Je souffre beaucoup qu'on ne parle jamais des femmes abusées". Elle souligne l'importance de la parole et de la reconnaissance, affirmant que depuis que le pape a commencé à aborder ces sujets, elle se sent mieux.

Les chiffres accablants des agressions sexuelles dans l'Église

Elle décrit ce changement comme un soulagement, évoquant un "énorme couvercle se soulevant" qui l'a longtemps enfermée dans le silence. Ces témoignages révèlent un besoin urgent de reconnaissance et de soutien pour les femmes victimes au sein de l'Église. Une autre religieuse mentionne que "c'est inconcevable" qu'on puisse lui priver de sa chasteté, surtout par un prêtre ayant fait le même vœu. Ce constat met en lumière la complexité et la douleur de ces situations, où la confiance est trahie par ceux qui sont censés être des guides spirituels.


Le silence et la culpabilité


Le silence qui entoure ces abus est un thème récurrent dans les témoignages. Une des religieuses explique que "dans le silence, il n'y a pas vraiment de mots pour en parler". Cela crée un environnement où les victimes se sentent isolées et coupables. Elle souligne la difficulté de dénoncer un prêtre, en déclarant : "C'est difficile d'aller jusqu'à dire bah voilà ce que l'un de vos prêtres fait". Cette peur de la stigmatisation et de la répercussion sur leur vie spirituelle contribue à maintenir le silence autour de ces abus.

Mémoire traumatique : victime d'un prêtre pédocriminel, Mathilde témoigne

Les conséquences psychologiques de ces expériences sont dévastatrices. Une religieuse témoigne : "Je suis complètement détruite de la tête aux pieds", illustrant la souffrance profonde que ces abus engendrent. Elle évoque également la culpabilité ressentie par les victimes, qui se sentent responsables de la transgression. Enfin, elle souligne l'absence d'une opinion publique sur les abus sexuels des religieuses par des prêtres, affirmant : "Il n'y a pas d'opinion publique, elle est à construire". Ce constat met en évidence la nécessité de briser le silence et de créer un dialogue autour de ces questions cruciales.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].