Si je voyageais à travers le monde…

Transports en commun gratuits au Luxembourg, location d'un appartement interdite aux touristes à Majorque, taxe pour entrer en Nouvelle-Zélande... Si je voyageais à travers le monde…

Si je voyageais à travers le monde…


Si je voyageais à Majorque…


Je ne pourrais louer aucun appartement appartenant à un particulier dans tout Palma de Majorque, la capitale de l’île.


Depuis le 1er juillet 2018, seules sont autorisées les locations de maisons, villas, chalets. Le bien loué doit être situé en dehors du centre historique, des zones industrielles, des environs de l’aéroport.


Ces restrictions ont notamment été décidées après les plaintes des habitants de Majorque pour qui les loyers sont devenus excessifs en raison du tourisme de masse.


Si je voyageais au Japon…


Je devrais payer une taxe de 1000 yens (8 euros) pour quitter le pays. Surnommée la "taxe sayonara" (la taxe au revoir") elle est ajoutée automatiquement au prix du billet d’avion ou de bateau.


Mise en place en janvier 2019, le but est de lever des fonds pour améliorer les infrastructures touristiques. La taxe ne s’applique pas aux voyageurs quittant le pays 24 heures seulement après leur arrivée.


Si je voyageais au Luxembourg…


À compter du 1er mars 2020, je ne paierai pas les transports publics. Je pourrais donc prendre le bus, le tram et le train gratuitement même si les places en première classe restent payantes.


Si je voyageais à Singapour…


Je n’aurais pas le droit de consommer de chewing-gum. À Singapour, il est interdit d’en importer, d’en vendre et d’en mâcher.


Le chewing-gum a été déclaré comme "nuisance non dégradable" en 1992, suite à des actes de vandalisme empêchant l’ouverture des portes du métro.


Surnommée la "fine city" (la "ville des amendes"), Singapour a fait de la propreté l’une de ses priorités : en cas de récidive, une personne crachant un chewing-gum par terre risque jusqu’à 1000 euros d’amende.


Si je voyageais en Nouvelle-Zélande…


Le 1er octobre 2019 marque l’entrée en vigueur d’une taxe de 20€ qui vise à financer la protection de l’environnement et les infrastructures liées au tourisme.


Les Néo-Zélandais, les Australiens et les résidents de divers îles du Pacifique n’ont pas à la payer.


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Brut.