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Trois associations portent plainte contre l'État

Trois associations, le Planning familial, SOS homophobie et Sidaction, portent plainte pour contraindre l’État à organiser dans les écoles les trois séances d’éducation à la sexualité annuelles prévues par la loi de 2001.
Publié le
02
/
03
/
2023

Une augmentation de 33% des violences sexuelles entre 2020 et 2021


Est-ce que vous saviez que les élèves des collèges et lycées doivent avoir au moins 3 séances à la sexualité par an selon une loi de 2001 ? Ce mercredi, trois associations ont porté plainte contre l’État afin que ces séances soient réellement organisées: le Planning familial, SOS homophobie et Sidaction. Car 17% des 15-24 ans disent n’avoir jamais eu le moindre cours sur la question. Et seuls 15% des écoliers et lycéens et moins de 20% des collégiens en bénéficient selon un rapport de 2021 de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche. 

"Option éducation sexuelle" : cet atelier qui permet aux ados de parler librement de sexualité


Les associations insistent sur les conséquences de la non-application de cette loi et alertent sur l’augmentation de 33% des violences sexuelles entre 2020 et 2021. La présidente du Planning familial, Sarah Durocher, a déclaré que: “Des violences sexistes et sexuelles comme des attaques contre les personnes LGBT pourraient être évitées si cette loi était pleinement appliquée”. Les associations font remarquer que ces séances d’éducation à la sexualité donnent “des conséquences psychosociales essentielles pour développer l'autonomie, la confiance en soi et des relations saines et équilibrées avec autrui”. En septembre 2022, le ministre de l’Education, Pap Ndiaye, a fait paraître une nouvelle circulaire pour “renforcer” l’éducation à la sexualité. Mais les trois associations, même si elles reconnaissent cet engagement, jugent ce texte “insuffisant”.

Un livre d'éducation sexuelle pour parler de consentement aux enfants

Trois associations portent plainte contre l'État

Trois associations, le Planning familial, SOS homophobie et Sidaction, portent plainte pour contraindre l’État à organiser dans les écoles les trois séances d’éducation à la sexualité annuelles prévues par la loi de 2001.
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Une augmentation de 33% des violences sexuelles entre 2020 et 2021


Est-ce que vous saviez que les élèves des collèges et lycées doivent avoir au moins 3 séances à la sexualité par an selon une loi de 2001 ? Ce mercredi, trois associations ont porté plainte contre l’État afin que ces séances soient réellement organisées: le Planning familial, SOS homophobie et Sidaction. Car 17% des 15-24 ans disent n’avoir jamais eu le moindre cours sur la question. Et seuls 15% des écoliers et lycéens et moins de 20% des collégiens en bénéficient selon un rapport de 2021 de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche. 

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Les associations insistent sur les conséquences de la non-application de cette loi et alertent sur l’augmentation de 33% des violences sexuelles entre 2020 et 2021. La présidente du Planning familial, Sarah Durocher, a déclaré que: “Des violences sexistes et sexuelles comme des attaques contre les personnes LGBT pourraient être évitées si cette loi était pleinement appliquée”. Les associations font remarquer que ces séances d’éducation à la sexualité donnent “des conséquences psychosociales essentielles pour développer l'autonomie, la confiance en soi et des relations saines et équilibrées avec autrui”. En septembre 2022, le ministre de l’Education, Pap Ndiaye, a fait paraître une nouvelle circulaire pour “renforcer” l’éducation à la sexualité. Mais les trois associations, même si elles reconnaissent cet engagement, jugent ce texte “insuffisant”.

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