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À l'entraînement avec la gymnaste Marine Boyer
La passion de Marine Boyer
Marine Boyer, gymnaste française de 23 ans, partage son quotidien d'athlète avec une sincérité touchante. Elle explique que "c'est dur" et évoque la douleur physique qu'elle ressent parfois : "J'avais super mal au ventre, les jambes qui tétanisent, c'est horrible". Malgré ces défis, elle souligne l'importance de la passion dans sa carrière, affirmant que "il y a la passion qui fait que je suis encore là". Son objectif principal est clair : la qualification pour les Jeux Olympiques de Paris en 2024. Elle se prépare sur les quatre agrès : "saut de cheval, barres asymétriques, sol et poutre", avec une mention spéciale pour sa spécialité, la poutre.
À l'entrainement avec Oriane Bertone, grimpeuse professionnelle
Marine raconte également comment elle a commencé la gymnastique, influencée par ses parents sportifs. "Mes parents, ils étaient sportifs, ils faisaient du foot tous les deux", dit-elle. Son père, qui n'a pas eu l'occasion de pratiquer un sport de haut niveau, a décidé de mettre ses enfants dans le sport. Cela l'a amenée à essayer plusieurs disciplines avant de trouver sa voie dans la gymnastique. Elle décrit ses journées d'entraînement, qui commencent à 10h et se terminent souvent tard dans la soirée, illustrant son engagement et sa détermination.
Les défis de la compétition
La compétition à venir, Bercy, est un moment crucial pour Marine. Elle la décrit comme "la meilleure compétition de l'année" et un événement incroyable à vivre pour tout gymnaste. Elle se concentre intensément avant de passer, faisant abstraction du bruit autour d'elle : "Je fais abstraction du bruit, j'écoute pas du tout qu'il y a autour de moi jusqu'à ma réception". Cette concentration est essentielle pour gérer la pression, qu'elle décrit comme "vraiment dur".
À l'entraînement avec la grimpeuse Oriane Bertone
Marine partage également ses expériences passées aux Jeux Olympiques, évoquant ses défis personnels : "À Tokyo, je suis passée un peu à côté". Elle aspire à gagner une médaille, ayant terminé quatrième à Rio. À 23 ans, elle se sent parfois comme "une vieille" dans le monde de la gymnastique, car aucune Française n'a participé à trois Jeux Olympiques. Elle considère cela comme un "challenge historique" et un moyen de laisser sa marque dans l'histoire de la gymnastique française.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].