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Jeune danseuse, Cléa rêve de Jeux olympiques

"C'est ma passion. Ça me permet de me libérer, de me défoncer, quitte à se faire mal." Dans son lycée, un programme spécial permet de faire chaque semaine 15 heures de breakdance, nouvelle discipline olympique. Et Cléa a un rêve : représenter la France aux JO de Paris 2024…
Publié le
27
/
02
/
2022

La passion de Cléa pour le breakdance


Cléa, une jeune danseuse talentueuse, exprime sa passion pour le breakdance en disant : "C'est ma passion. Ça me permet de me libérer, de me défoncer, quitte à se faire mal." Dans son lycée, elle bénéficie d'un programme spécial qui lui permet de consacrer chaque semaine 15 heures à cette discipline, qui est désormais reconnue comme une nouvelle discipline olympique.

À l'entraînement avec la grimpeuse Oriane Bertone

Son rêve est clair : représenter la France aux Jeux Olympiques de Paris en 2024. Cléa a commencé à danser à un jeune âge, et elle se souvient de ses débuts : "Je faisais mes devoirs et si je pouvais aller m'entraîner, j'allais." Elle a consacré une grande partie de son temps à la danse, souvent au détriment de ses interactions sociales. Elle dit : "C'était que la danse, la danse, la danse." Ce dévouement a porté ses fruits, car elle est maintenant considérée comme une danseuse d'un niveau exceptionnel, la première fille à atteindre un tel niveau dans son équipe.


Le soutien de son lycée


Le lycée Turgot, où Cléa étudie, est une institution qui soutient les jeunes talents dans le domaine du hip-hop. Ce lycée a été créé en partenariat avec le rectorat de Paris, la Fédération Française de danse et le ministère des Sports. Cléa explique que cette structure est essentielle pour les danseurs : "C'est l'équivalent de la première section de haut niveau pour les danseurs hip-hop." Elle souligne l'importance de l'environnement dans lequel elle évolue, en disant : "On ressent quelque chose quand on n'est qu'avec des danseurs." Cléa a récemment participé à des compétitions, notamment des vidéos pour les Jeux Olympiques scolaires.

À l'entraînement avec la gymnaste Marine Boyer

Son entraîneur mentionne qu'elle est devenue une sorte de mascotte pour l'équipe, car c'est la première fois qu'une danseuse atteint un tel niveau dans leur programme. Cléa se sent soutenue par son équipe et son lycée, et elle est déterminée à aller le plus loin possible dans sa carrière de danseuse. Elle dit : "Moi, ça m'a fait bizarre parce que le break dans la rue et passer de la rue jusqu'aux JO, c'est un grand écart pour un rêve."


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].