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Un jour avec Perrine Laffont, championne olympique de ski de bosses
La pression des Jeux olympiques
Perrine Laffont, championne olympique de ski de bosses, partage son expérience unique des Jeux olympiques. Elle explique que "aux Jeux Olympiques, tu as 30 secondes et puis bon bah si tu l'ouvres tu attends 2 secondes, tu reviens dans 4 ans". Cette citation illustre la pression immense que ressentent les athlètes lors de ces compétitions. À seulement 19 ans, elle a dû apprendre à gérer cette pression, qui peut parfois devenir écrasante. Elle mentionne que "j'arrivais plus à supporter cette pression" et que cela affectait son bonheur dans le sport.
Rebondir après un échec avec Perrine Laffont
Laffont souligne l'importance d'être bien entouré pour faire face à ces défis. Elle dit : "il faut être bien entouré surtout je dirai parce que oui, tu peux avoir les épaules". Cela montre que le soutien des proches et des entraîneurs est crucial pour un athlète de haut niveau. Elle évoque également les critères de notation, où 60 % de la note dépend de la performance technique, ce qui ajoute une autre couche de stress. "On a une note sur 100 en fait 60 pourcents de la note, c'est le sur la manière dont ce qu'il est basse", explique-t-elle.
L'amour du ski de bosses
Perrine Laffont exprime sa passion pour le ski de bosses, un sport qu'elle trouve particulièrement gratifiant. Elle décrit la sensation de survoler le champ de bosses, disant que "c'est des trucs hyper fins en fait quand tu es dans le champ de basse". Cette description poétique montre à quel point elle est connectée à son sport. Elle parle également de l'adrénaline que procure la compétition, affirmant que "c'est juste le kiffe en fait quand tu arrives en bas". Malgré les sacrifices que nécessite ce sport, elle ne regrette pas son choix.
À l'entrainement avec Oriane Bertone, grimpeuse professionnelle
Laffont explique que "j'aurais pu prendre le cursus école et vie un peu plus normal mais je le regrette pas". Elle évoque les défis de la vie d'athlète, notamment le fait de passer moins de temps avec ses proches en raison des déplacements constants pour les entraînements et les compétitions. "C'est juste à qui le plus dur", dit-elle, soulignant la difficulté de jongler entre sa carrière sportive et sa vie personnelle. En fin de compte, Perrine Laffont reste optimiste et déterminée. Elle espère que son corps pourra supporter les exigences du sport jusqu'à l'âge de 30 ans, affirmant : "j'espère que il va tenir au moins jusqu'à 30 ans".
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].