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À l'entraînement avec Sara Balzer, de l'équipe de France d'escrime

"C'est un jeu et en même temps c'est aussi un combat." Quand elle était petite, elle s'est mise à l'escrime pour "copier sa sœur". Aujourd'hui à 28 ans, Sara Balzer fait partie de l'équipe de France et prépare les Jeux olympiques de Paris. Un sport où la France brille régulièrement. On l'a suivie à l'entraînement.
Publié le
02
/
03
/
2024

L'initiation à l'escrime


Sara Balzer, membre de l'équipe de France d'escrime, partage son parcours fascinant dans ce sport. Elle explique qu'elle a commencé l'escrime pour "copier sa sœur". À l'âge de 28 ans, elle se prépare pour les Jeux Olympiques de Paris, un événement qui représente un objectif majeur pour elle. Elle se souvient des débuts : "Avec ma sœur, on était dans un centre aéré d'été, il y avait plein de sports.

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Elle s'est fait repérer par l'entraîneur parce qu'elle était plutôt pas mal au sabre, donc elle a commencé." Cette initiation a rapidement évolué en une passion partagée, où les deux sœurs ont commencé à obtenir des résultats et à monter sur des podiums. L'escrime, pour Sara, est plus qu'un simple sport. Elle évoque les défis qu'elle a rencontrés, notamment le besoin de concilier ses études et sa passion pour l'escrime. Elle raconte : "Toute mon énergie, toute mon attention, elle est allée dans les scrims. Donc, j'ai un peu délaissé les cours." Malgré cela, elle a réussi à obtenir son baccalauréat et a ensuite trouvé un moyen de poursuivre ses études en communication digitale par correspondance, ce qui lui a permis de se concentrer sur son entraînement.


Les défis de l'entraînement


L'entraînement en escrime est exigeant, tant sur le plan physique que mental. Sara décrit son équipement essentiel : "J'ai juste besoin de mon gant, de mon sabre et de mon masque." Elle explique également les différences entre les différentes armes, notamment le sabre, le fleuret et l'épée. "Ce qui différencie les trois armes, c'est que moi je peux toucher avec toute la lame." Cependant, le chemin vers l'excellence n'est pas sans sacrifices. Sara mentionne les moments manqués avec sa famille et ses amis, ce qui lui cause parfois de la tristesse.

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Elle dit : "Des fois quand j'y pense, ça me rend triste parce que je me dis que c'est vrai que c'est des moments ratés." Malgré cela, elle souligne le soutien indéfectible de sa famille, qui comprend ses choix et l'encourage dans sa quête de succès. Sara évoque également la nature du sport, le mélange entre jeu et combat : "C'est un jeu. Il faut essayer de deviner ce que l'autre va faire." Cette dualité rend l'escrime captivante, tant pour les athlètes que pour les spectateurs. Elle conclut en affirmant que l'escrime est "une quête sans cesse d'excellence que j'adore."


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].