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À l'entraînement avec Zoé Jean du Stade Toulousain

Du haut de son mètre soixante-quinze, Zoé Jean est troisième ligne centre au Stade Toulousain. Et à 20 ans, elle est aux portes de l'équipe de France, convoquée pour la préparation du Tournoi des 6 Nations. Son quotidien, ça ressemble à ça. 🔴⚫️
Publié le
03
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2024

L'expérience de Zoé Jean au Stade Toulousain


Zoé Jean, troisième ligne centre au Stade Toulousain, partage son parcours dans le rugby, un sport qu'elle a trouvé initialement compliqué. Elle explique : "Quand j'ai commencé le rugby, ça a été un peu compliqué. Je me suis retrouvée face à des gens, comme tout le monde peut le croire, un sport de gars." Malgré ces défis, elle a été séduite par l'ambiance familiale du club, où "tout le monde dit bonjour à tout le monde, que ce soit le grand Antoine Dupont ou le petit Cadet".

Zoé, vice-championne du monde junior de paratennis

Zoé a intégré le Stade Toulousain cette année et se réjouit de son expérience. Elle décrit le moment de l'annonce de la composition de l'équipe, un moment crucial pour les joueuses : "La compo, c'est les 15 joueuses qui débuteront le match avec les remplaçantes qui suivront derrière." Elle se montre enthousiaste d'y figurer et se prépare pour l'entraînement collectif. Elle souligne également l'importance de se faire une place parmi les garçons, en disant : "Il faut montrer que tu as le niveau parce que sinon, ils ne te feront pas la passe."


La vie d'étudiante et de sportive


Zoé Jean jongle entre ses études et sa carrière sportive. Elle est actuellement en L2 de STAPS à l'Université de Toulouse et explique que "ce n'est pas trop dur justement d'avoir lieu de cours et à côté le rugby". Sa famille la soutient dans cette démarche, et elle a réussi à aménager son emploi du temps pour concilier les deux. Elle mentionne également son stage de préparation pour le tournoi avec le 15 de France féminin, une opportunité qu'elle considère comme une "grande chance".

Ma vie d'ado : Zoé, 14 ans, collégienne et cavalière de haut niveau

En ce qui concerne la gestion du stress avant les matchs, Zoé avoue : "Moi, à la base, je suis quelqu'un d'assez stressée." Elle a besoin d'une bonne action à l'échauffement pour se rassurer. Cependant, une fois le coup de sifflet donné, elle se concentre uniquement sur le jeu. Elle reconnaît que, bien qu'elle ne soit pas naturellement agressive, elle possède un côté combatif qui est essentiel dans ce sport de contact. "On est quand même dans un sport de combat et c'est le combat qui prime," conclut-elle.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].