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Avec Marché Noir, Amah Ayivi revisite les vêtements africains
La vision d'Amah Ayivi sur la mode
Amah Ayivi, fondateur de la marque Marché Noir, remet en question les normes établies de l'industrie de la mode. Il explique que "on n'est pas obligé de s'habiller total look d'une grosse marque 3 4 5000 € pour avoir du style". Pour lui, le style personnel ne dépend pas des grandes marques, mais plutôt de la créativité et de l'originalité. Il souligne l'importance de "faire et avoir son propre style", ce qui reflète une approche ludique de la mode.
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Ayivi ne se limite pas aux saisons ou aux tailles, affirmant qu'il est "vraiment aux antipodes du fonctionnement de la mode". Selon lui, les saisons sont une construction économique, et il est essentiel de se libérer de ces contraintes. Son inspiration provient de ses racines africaines et de son expérience personnelle, notamment lorsqu'il évoque un voyage en Afrique où il a découvert des marchés de vintage. Il déclare : "il y a des marchés de des gros marché de vintage en Afrique et je suis parti". Cette exploration l'a conduit à redécouvrir et à réinterpréter les vêtements traditionnels africains.
L'engagement éthique de Marché Noir
L'engagement d'Amah Ayivi va au-delà de la simple création de vêtements. Il aborde également des questions de durabilité et de responsabilité sociale. Il mentionne que "ce qu'on donne à la Croix-Rouge pour Emmaüs aujourd'hui, c'est des organismes ont besoin d'argent donc il revend d'une partie de ses dons à des grossistes". Cela met en lumière le cycle de surconsommation et de gaspillage dans l'industrie de la mode.
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Ayivi souligne l'impact environnemental de ce système, expliquant que lorsque les vêtements ne se vendent pas, "on les brûle ou ça se trouve dans les océans donc ça pollue". Sa démarche avec Marché Noir vise à inverser cette tendance en transformant des vêtements considérés comme des déchets en trésors. Il affirme que "la démarche de marché danser aussi ça il y a un petit côté et un peu militants". Pour lui, il est crucial de prendre des mesures pour préserver l'environnement et de reconnaître le potentiel créatif de l'Afrique. Il conclut en disant que "c'est à nous de le faire, c'est pas aux autres de le faire à notre place", soulignant ainsi l'importance de l'auto-initiative et de la responsabilité collective.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].