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Avec Marguerite, dame pipi à Strasbourg

"Écoutez, vous êtes pas chez Sephora ici, vous êtes dans les toilettes publiques." Depuis 12 ans, Marguerite est agente d'entretien à Strasbourg. Ou selon l'expression, "dame pipi". Son quotidien, c'est ça.
Publié le
28
/
01
/
2022

La réalité du métier de dame pipi


Marguerite, agente d'entretien à Strasbourg depuis 12 ans, partage son expérience unique et souvent difficile. Elle explique que le travail en lui-même n'est pas particulièrement ardu, mais que c'est le comportement des gens qui pose problème. Elle dit : "Il y a certaines personnes qui ont nettoyé notre merde." Cela met en lumière le manque de respect que certains usagers des toilettes publiques peuvent avoir.

Son métier : gardienne de refuge

Marguerite souligne que, malgré les défis, elle ne se plaint pas de son métier, car elle trouve de la valeur dans son travail. Elle évoque également les difficultés liées aux odeurs désagréables, en précisant : "Il y a des fois des odeurs supportais pas." Cela montre à quel point son environnement de travail peut être éprouvant. Marguerite raconte une anecdote marquante : "Vous êtes pas chez Sephora ici, vous êtes dans les toilettes publiques." Cette phrase résume bien le manque de considération de certains visiteurs. Elle fait face à des situations inattendues, comme le fait de devoir nettoyer des lieux où des personnes se droguent, ce qui ajoute une couche de stress à son quotidien.


Les défis émotionnels et sociaux


Marguerite aborde également les défis émotionnels liés à son travail. Elle mentionne que de nombreux collègues ont souffert de dépression, ce qui témoigne de la pression que ce métier peut engendrer. "Beaucoup de stress parce qu'il y a eu beaucoup beaucoup de leçons," dit-elle, soulignant la gravité de la situation.

Un jour avec Anne, éboueuse à Paris

Elle explique qu'il existe un bouton d'alerte qui la relie directement à la police en cas d'agression, ce qui montre la nécessité de sécurité dans son environnement de travail. Les interactions avec les usagers sont souvent marquées par un manque de courtoisie. Marguerite déplore le fait qu'il est rare d'entendre un simple "bonjour" ou "merci". Elle conclut en disant que "la politesse pour un grand sourire d'une personne, ça fait déjà beaucoup." Cela met en lumière l'importance de la reconnaissance et du respect dans les relations humaines, même dans des contextes aussi inattendus que les toilettes publiques.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].