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Cannes 2022 : le name dropping de Sandrine Kiberlain
“C’est le premier qui m’a choisie, ça restera dans mon coeur à vie”
“Ce que je dirai de Jean Dujardin, c’est sa bonté. Il est content du succès des autres, ce qui n’est pas si fréquent en fait dans ce métier”. Pour Brut, l’actrice française se prête au jeu du name dropping. Charlotte Gainsbourg, Vincent Lacoste, Lyna Khoudri et d’autres, elle dit sans phare ce qu’elle pense vraiment d’eux. “Romy Schneider… C’est une admiration de toujours. Je ressentais sa douleur qu’elle mettait au service de sa douleur. J’aimais tout : son accent, sa féminité, son époque et les films qu’elle a fait de Sissi à Une histoire simple. Elle est morte à 42 ans et elle a fait en si peu de temps tant de choses”.
Voici 4 questions auxquels Sandrine Kiberlain en a marre de répondre
“Eric Rochant… Le boss. Celui qui a compris que ce qu’on appelait mes défauts pouvaient être des qualités voire même ma signature et qui a choisi de me porter et de faire que j’existe à l’image. C’est celui que j’attendais. C’est le premier qui m’a choisie, ça restera dans mon coeur à vie”. En 1994, l’actrice avait joué dans Les Patriotes d’Eric Rochant aux côtés d’Yvan Attal. Présente au festival de Cannes 2022, elle a présenté 3 films dont Le Parfum vert de Nicolas Pariser, projeté en clôture de la Quinzaine des réalisateurs.
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