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C’est mon métier : mécanicienne en sport auto
Élise, mécanicienne en sport automobile
Élise, mécanicienne dans le sport automobile, joue un rôle crucial pendant les courses. Elle explique : "Alors moi pendant la course je suis driver change, donc j'assiste les pilotes à s'installer dans le cockpit, donc en gros c'est moi qui les attache." Son travail consiste à s'assurer que les pilotes sont correctement attachés, car l'espace dans le cockpit est très étroit, rendant difficile l'accès aux ceintures de sécurité. Élise est également responsable des carrosseries des voitures, qui arrivent en pièces détachées. Elle précise : "Je suis responsable des carrosseries.
Pour les mécaniciens, les voitures électriques ont tout changé
Donc assembler toutes les carrosseries parce qu'elles arrivent en pièce." Elle s'occupe de préparer les différentes parties, comme les capots qui couvrent les phares. "Sur les deux voitures, on n'a perdu que le plat de ciglasse. Donc j'en ai recommandé vite fait des nouveaux." En plus de cela, elle applique un vinyle et un transparent pour protéger le plexi et le carbone des voitures. La sécurité est primordiale dans son métier, et elle porte une combinaison unifugée, un casque, des gants, et d'autres équipements de protection. "Une petite fuite d'essence ou une étincelle qui fait que les gaz d'essence s'enflamment," souligne-t-elle, mettant en avant les risques liés à son travail.
Les défis des courses d'endurance
Les courses d'endurance, comme celles du championnat du monde, sont particulièrement exigeantes. Élise partage son enthousiasme : "J'adore les courses d'endurance. Il ne faut rien au monde ?" Elle évoque également son ami Gilles, qui travaille sur les BMW GT, et leur expérience commune dans le monde des courses. "C'est la première année qu'il fait le championnat du monde d'endurance," dit-elle, soulignant la camaraderie qui existe entre les mécaniciens. Lors des courses, le stress est omniprésent. "Je me suis réveillée stressée ce matin," confie Élise.
C'est mon métier : chauffeure de dameuse
Elle décrit la satisfaction d'un bon week-end de course, où il n'y a pas de problèmes mécaniques. "Pas de problème sur la voiture. Pas d'accrochage non plus." Cependant, elle reste réaliste sur les imprévus qui peuvent survenir, même avec une bonne voiture. "On sait pas ce qu'il peut se passer," dit-elle, faisant référence aux défis inattendus qui peuvent survenir pendant une course de 10 heures. Après la course, le travail d'Élise ne s'arrête pas. Elle explique : "Dès que la voiture qui est au scrutineering en ce moment, donc on contrôle technique... revient, on commence à démonter les deux, à les réviser." Cela montre l'importance de la maintenance et de la préparation continue dans le sport automobile.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].