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Planer d'un arbre à l'autre n'est pas la seule caractéristique étonnante du polatouche
Le polatouche, également connu sous le nom de Glaucomys, est un écureuil fascinant qui vit en Amérique du Nord. Selon Paula Spaeth Anich, chercheuse, "Voici le premier écureuil fluorescent au monde. " Cette découverte a été faite par accident lorsqu'un chercheur a éclairé un individu à la lumière ultraviolette, révélant une caractéristique étonnante : son pelage est fluorescent. Cette fluorescence a été confirmée par des tests effectués sur des centaines de spécimens empaillés dans différents musées, allant du 19e au 21e siècle, et ce, dans des régions allant du Guatemala jusqu'au Canada.
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Les résultats montrent que cette caractéristique est présente chez des mâles et des femelles, indépendamment de la saison de collecte. Il est intéressant de noter que les Glaucomys ne sont pas les seuls êtres vivants à présenter une fluorescence sous des rayons ultraviolets. D'autres espèces, telles que certaines plantes, invertébrés, poissons, amphibiens, reptiles et oiseaux, montrent également ce phénomène. Cependant, jusqu'à présent, les seuls mammifères connus pour leur fluorescence étaient des opossums de la famille des Didelphidae. La découverte de cette caractéristique chez les polatouches est donc considérée comme exceptionnelle.
Les implications de la fluorescence chez les Glaucomys
La découverte de la fluorescence chez les Glaucomys soulève de nombreuses questions sur son rôle et ses implications. Paula Spaeth Anich mentionne qu'elle a été "déstabilisée" par cette découverte et a tenté de la replacer dans un contexte compréhensible. Plusieurs hypothèses ont été avancées pour expliquer ce phénomène. Par exemple, la fluorescence pourrait permettre aux polatouches de voir la lueur de leur pelage et de reconnaître leurs congénères dans l'obscurité, étant donné qu'ils sont des animaux nocturnes.
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De plus, cette caractéristique pourrait jouer un rôle dans la communication entre les individus ou même servir de facteur de sélection pour la reproduction. Une autre hypothèse suggère que la fluorescence pourrait aider les polatouches à se camoufler dans la végétation fluorescente environnante, leur offrant ainsi une protection contre les prédateurs. Comme le souligne Paula Spaeth Anich, "la leçon est que de notre point de vue de primate diurne, nous passons à côté de la communication animale et de la perception nocturne. " Les chercheurs estiment donc qu'il est probable que d'autres animaux fluorescents n'aient pas encore été découverts, ouvrant la voie à de nouvelles recherches fascinantes dans ce domaine.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].
