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Cette militante québécoise inuk se bat pour le "droit au froid"

"Pour nous, Inuits, il faut qu'il fasse vraiment froid, qu'il gèle, pour pouvoir prospérer. Alors que l'Arctique se réchauffe, cette militante québécoise inuk se bat pour la reconnaissance d'un "droit au froid". Rencontrée lors du We Love Green, elle explique à Brut Nature les conséquences de ce réchauffement sur le quotidien des Inuits.
Publié le
01
/
07
/
2019

Pour nous, inuits, il faut qu'il fasse vraiment froid, qu'il gèle, pour pouvoir prospérer


La militante québécoise inuk, lors de son intervention au festival We Love Green, a souligné l'importance du froid pour la culture et la survie des Inuits. Elle a déclaré : "Pour nous, Inuits, il faut qu'il fasse vraiment froid, qu'il gèle, pour pouvoir prospérer. " Cette affirmation met en lumière la relation étroite entre les conditions climatiques et le mode de vie traditionnel des Inuits, qui dépendent du gel pour la pêche et la chasse.

Comment les Inuits vivent avec le froid

En effet, le réchauffement climatique a des conséquences directes sur les écosystèmes arctiques. La militante a expliqué que la diminution de la glace marine affecte non seulement les ressources alimentaires, mais aussi les pratiques culturelles et les traditions ancestrales. "Avoir arrête arrête arrête", a-t-elle mentionné, soulignant l'urgence de la situation. Les changements climatiques menacent non seulement la biodiversité, mais aussi l'identité culturelle des communautés inuites.


Les conséquences du réchauffement sur le quotidien des inuits


La militante a également abordé les impacts concrets du réchauffement climatique sur le quotidien des Inuits. Elle a expliqué que les températures plus élevées rendent la chasse plus difficile, car les animaux migrent vers d'autres régions à la recherche de conditions plus froides. "Kinder de action movement", a-t-elle ajouté, évoquant la nécessité d'une mobilisation collective pour faire face à ces défis.

Une vie : Autumn Peltier

Les Inuits, en tant que gardiens de leur environnement, ressentent profondément ces changements. La militante a insisté sur le fait que la reconnaissance du "droit au froid" est essentielle pour préserver leur mode de vie. Elle a appelé à une prise de conscience mondiale sur la nécessité de protéger l'Arctique et de soutenir les communautés qui en dépendent.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].