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Chaque jour qui passe est un jour perdu. Je veux brûler. Je veux vivre.
Chaque jour qui passe est un jour perdu
Alain Delon, dans une interview de 1980, exprime son scepticisme face à ceux qui affirment que la mort ne les effraie pas. Il dit : "Je suis toujours très sceptique lorsque les gens me disent moi la mort ne me fait pas peur, je la regarde en face, je l'attends." Pour lui, la peur de la mort est moins préoccupante que celle de l'impuissance et de la maladie. Il mentionne : "J'ai peur de l'impotence, j'ai peur de la maladie." Delon considère que ces craintes sont plus terribles que la mort elle-même. Il évoque également son besoin de vivre intensément, de "brûler les passions les unes après les autres".
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Pour lui, la routine et l'habitude sont des sources d'angoisse. Il explique : "Je crois qu'il n'y a rien de pire au monde que l'habitude." C'est pourquoi il cherche à diversifier ses activités, même en dehors de sa carrière d'acteur et de producteur, car il ressent un besoin profond de s'exprimer et de prendre des risques. Delon souligne que chaque jour qui passe est un jour perdu : "Heureusement, j'avais peu de temps et que chaque jour qui passe est un jour perdu. Je veux brûler, je veux vivre."
La nostalgie et le passé
Malgré son désir de vivre pleinement, Alain Delon admet être profondément passéiste. Il dit : "Je suis accroché à tout un passé terriblement ancré en moi." Cette nostalgie lui cause souvent de la douleur, car il regrette certaines choses du passé. Il explique que chaque minute qui passe le rapproche de la mort, ce qui intensifie son sentiment de perte : "Chaque heure, chaque minute qui passe me rapproche de la mort et qu'on ne peut pas revenir en arrière." Delon aborde aussi l'idée de la mort, qu'il considère comme une préoccupation universelle.
Une vie : Alain Delon
Il déclare : "Je crois que c'est une idée qui hante tous les humains." Il reste sceptique face à ceux qui prétendent ne pas craindre la mort, affirmant que cette attitude lui semble peu sincère. Il conclut en soulignant son souhait de mourir sans s'en apercevoir, tout en reconnaissant que le courage face à la mort est rare. "Dites-le moi. Moi, j'ai connu des hommes, les armes à la main pendant la guerre."
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].