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Benoît Poelvoorde raconte l'histoire de Benoît Poelvoorde

"J'adore les gens qui disent n'importe quoi, ça me ressemble assez." Benoît Poelvoorde nous raconte son histoire, façon Benoît Poelvoorde. Autoportrait d'un acteur à part.
Publié le
05
/
04
/
2023

L'histoire de Benoît Poelvoorde


Benoît Poelvoorde, acteur belge reconnu, partage son parcours avec une franchise désarmante. Il commence par se poser la question de ses compétences d'acteur : "Est-ce que je suis un bon acteur ? Oui, je me suis posé la question souvent." Il répond sans hésitation, affirmant qu'il ne doute pas de son talent. Il évoque une expérience marquante lors d'un tournage avec Edward, où il se sentait "impeccable". Cependant, il admet que la pression peut parfois être écrasante, comme lors de sa première journée de tournage avec Olivier Gourmet, où il a ressenti une panique intense.

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"Je veux rembourser l'argent. Je veux rentrer, je n'y arriverai jamais", confie-t-il, révélant ainsi la vulnérabilité qui se cache derrière son image de comédien sûr de lui. Poelvoorde évoque également ses débuts, en rendant hommage à ceux qui travaillent dans des métiers difficiles, comme la vente de frites. "C'est épouvantable, c'est terrible", dit-il, soulignant le dur labeur que cela représente. Il se souvient de ses premières expériences dans le cinéma, où il a été sollicité pour des exercices d'école. "J'adore les gens qui disent n'importe quoi, ça me ressemble assez", explique-t-il, mettant en avant son goût pour l'absurde et l'improvisation.


La comédie et le physique


L'acteur aborde ensuite la question de la comédie et de son physique. Selon lui, avoir un physique atypique peut être un atout dans le domaine de la comédie. "C'est plus facile quand tu as un physique comme le mien", dit-il, soulignant que cela permet de jouer sur des registres humoristiques variés. Il note que les acteurs jugés trop beaux sont souvent cantonnés à des rôles dramatiques, alors qu'il existe de nombreuses actrices talentueuses qui n'ont pas l'occasion de montrer leur potentiel comique. Poelvoorde partage également son expérience de la préparation des rôles.

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Il se souvient d'un souvenir marquant lié à la danse, où il a dû surmonter ses appréhensions. "On s'est rendu compte que c'est Pascal et des miroirs dans les salles de danse", explique-t-il, révélant les défis auxquels il a dû faire face. Il évoque la difficulté de faire rire par rapport à faire pleurer, affirmant que "l'image est souvent en dessous de ce que peut faire le son". Enfin, il conclut en exprimant son désir d'être reconnu pour son travail sans avoir à se justifier. "Si j'ai bien fait mon boulot, pour le régulateur me dise ok, c'est ce que j'attendais", dit-il, illustrant son besoin de validation tout en affirmant son indépendance vis-à-vis des attentes des autres.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].