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Les techniques utilisées dans le film
Dans le film "Le règne animal", une variété de techniques a été mise en œuvre pour créer des transformations réalistes d'humains en animaux. Les prothèses ont joué un rôle crucial dans ce processus. Comme l'explique un responsable des effets spéciaux, "à la base, on a des prothèses qui ont été utilisées sur le tournage pour représenter où seront les ailes à terme et pour aussi avoir un vrai impact sur le plan". Ces prothèses permettent de créer un effet d'ombre sur le sol, ajoutant ainsi une dimension réaliste à la scène.
Il dresse des serpents et des araignées pour le cinéma
En plus des prothèses, le film utilise des effets hybrides, combinant des éléments physiques et numériques. Le responsable souligne que "ce n'est pas simplement des effets numériques posés sur des images, mais on a aussi beaucoup d'effets hybrides". Cela signifie que les comédiens sont prolongés par des prothèses et des effets numériques, ce qui nécessite une collaboration étroite entre différentes équipes. La complexité de ce travail réside dans le fait que chaque détail, bien que semblant insignifiant pris séparément, contribue à l'illusion globale. "C'est l'ensemble de tous ces détails qui fonctionnent, l'image à laquelle on croira", précise-t-il.
Le processus de création des effets spéciaux
Le processus de création des effets spéciaux dans "Le règne animal" est un travail minutieux qui commence dès la pré-production. Le responsable des effets spéciaux mentionne que "le travail qu'on voit ici, il commence au tout début sur ce qu'on appelle les assets 3D". Cela implique de créer un double numérique du comédien, intégrant des éléments comme les ailes et les plumes en 3D. Ce double est essentiel pour les scènes où le personnage est entièrement en 3D. Une fois le tournage terminé, plusieurs étapes suivent, notamment la roto animation, qui consiste à faire correspondre les mouvements du comédien avec ceux du personnage 3D.
Dans l'atelier du maquilleur effets spéciaux de The Substance
"C'est une étape d'animation qui est simplement de matcher au maximum les mouvements du comédien dans le plan avec notre personnage 3D", explique-t-il. Ensuite, l'animation des plumes est ajoutée, ce qui nécessite un travail considérable pour assurer que les mouvements soient fluides et réalistes. Enfin, le compositing joue un rôle clé dans l'intégration de tous ces éléments. "Le compositing récupère cette passe 3D et vient l'intégrer", souligne le responsable. Ce processus complexe, qui comprend également des simulations de FX et de son, vise à donner une logique physique au mouvement des plumes, renforçant ainsi le réalisme des scènes.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].
