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À Cannes, Louise Courvoisier ramène son village du Jura avec elle

C'est un film de village (littéralement) qui débarque à #Cannes2024. À 28 ans, Louise Courvoisier présente son premier long-métrage, “Vingt Dieux”. Un film qu'elle a tourné dans son village du Jura, avec des comédiens non professionnels (parfois des voisins) pour dresser le portrait le plus juste de sa région. Brut était sur les lieux du tournage pour rencontrer celles et ceux qui ont fait ce film.
Publié le
17
/
05
/
2024

C'est un film de village


Louise Courvoisier, réalisatrice de 28 ans, présente son premier long-métrage intitulé “Vingt Dieux” au festival de Cannes 2024. Ce film, tourné dans son village du Jura, met en avant des comédiens non professionnels, souvent des voisins, afin de capturer l'essence de sa région. Louise explique sa vision en disant : "Tu m'as dit, Zaza, je ne veux pas que tu joues, je veux que tu sois." Cette approche authentique vise à retranscrire le texte de manière naturelle, loin des clichés du cinéma traditionnel.

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Les défis du tournage dans un environnement rural sont nombreux, notamment la gestion des animaux. Louise partage une anecdote sur la coordination des vaches pendant le tournage : "Il fallait même diriger un peu les vaches... on avait des techniques avec Jean-Marie qui était en haut, postée, qui devait laisser par vague de 10 les vaches passer." Cela montre à quel point le tournage a été une expérience collaborative et immersive, reliant les acteurs à leur environnement.


Le paysage comme inspiration


Le paysage du Jura a joué un rôle crucial dans l'inspiration de Louise pour son film. Elle déclare : "C'est le paysage qui nous a aussi donné envie de tourner ici, c'est ça qui m'inspire." Louise a écrit le film en fonction des décors locaux, intégrant les réalités de la vie dans cette région. Elle décrit son personnage principal, Toton, comme un jeune homme confronté à des défis, qui doit s'occuper de sa petite sœur.

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Une scène marquante du film a été la naissance d'un veau, qui a été filmée dans une atmosphère d'intimité. Louise se souvient : "C'était une scène où on était quatre sur le plateau... il fallait quand même qu'elle soit... assez bien pour pouvoir veiller." Cette attention aux détails et à l'authenticité des interactions avec les animaux souligne l'engagement de Louise à créer un film qui reflète fidèlement la vie rurale.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].