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Brut.Cannes : Sylvain Tesson discute avec Augustin Trapenard

"On n’arrête pas d’essayer de trouver des solutions à nos vies, à nos malheurs. En voilà une : essayer de comprendre ce qui se passe quand on lève les yeux vers le ciel, quand on se plonge dans l’eau…" Sylvain Tesson discute avec Augustin Trapenard alors qu’il joue un rôle central dans "La panthère des neiges" présenté au Festival de Cannes.
Publié le
14
/
07
/
2021

La beauté de la nature


Sylvain Tesson, écrivain et aventurier, aborde la question de la beauté dans la nature et son importance dans nos vies. Il souligne que "plus personne s'y intéresse" et que la beauté n'est plus une préoccupation pour nos dirigeants politiques. Tesson explique que reconnaître et apprécier la beauté est un engagement essentiel. Il dit : "à quoi sert-elle franchement ?

Pierre Niney discute avec Augustin Trapenard

Vous avez quelques belles années devant vous, moi quelques belles semaines." Cela soulève la question de l'importance de la contemplation et de l'émerveillement face à la nature. Il évoque également l'espoir que la technologie pourrait nous sauver, mais il reste sceptique. Selon lui, "la Silicon Valley va venir à notre secours grâce au prophète du silicium", ce qui reflète une certaine ironie sur notre dépendance à la technologie. Tesson insiste sur le fait que la beauté et l'art doivent être au cœur de notre existence, car ils nous permettent de nous connecter à la réalité immédiate et de contempler la nature.


L'expérience de l'attente


Dans sa discussion, Tesson aborde également le concept de l'attente. Il décrit l'attente comme une confrontation avec soi-même, un moment de réflexion. Il déclare : "l'attente, c'est une confrontation sois même." Cette introspection est essentielle pour apprécier pleinement le monde qui nous entoure.

Annie Ernaux discute avec Augustin Trapenard

Tesson évoque une expérience personnelle, où il se plonge en lui-même pour mieux comprendre son environnement. Il fait référence à la rencontre avec la beauté, en soulignant que "vous ne lui offrez pas ni votre désir de l'exploiter ni votre désir de le soumettre, vous lui offrez simplement votre éblouissement." Cette notion d'abandon face à la beauté de la nature est cruciale pour Tesson. Il conclut en citant Aragon : "la vie est une avoine et le vent la traverse", nous incitant à suivre le vent et à comprendre notre place dans le monde.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].