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Discussion croisée entre Thomas Bangalter et Riad Sattouf.
Thomas Bangalter x Riad Sattouf
Lors de la 51e édition du Festival de Bande Dessinée d'Angoulême, Augustin Trapenard a animé une rencontre entre Thomas Bangalter, ancien membre de Daft Punk et président du jury, et Riad Sattouf, lauréat du Grand Prix l'année précédente. Thomas Bangalter a partagé son admiration pour le travail de Riad Sattouf, affirmant : "Je connais tout son travail". Bien qu'ils se soient croisés une fois lors d'un anniversaire, Thomas a avoué qu'il n'avait pas osé lui parler à l'époque, pensant que Riad était trop connu.
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Riad a également exprimé sa joie de cette rencontre, soulignant le paradoxe de leur notoriété respective. En discutant de leurs influences, Thomas a mentionné que la bande dessinée a façonné sa personnalité, bien qu'il ne se considère pas comme un grand spécialiste. Il a évoqué l'impact de l'animation japonaise sur sa vie, en particulier sa collaboration avec Leiji Matsumoto pour le projet de Daft Punk. Riad, quant à lui, a partagé son expérience avec Goldorak, un personnage qui a marqué son enfance, en racontant une anecdote sur un Goldorak en plastique géant que son père lui avait promis.
La bande dessinée et ses influences
Les deux artistes ont également discuté de leurs premières lectures de bande dessinée. Riad Sattouf a révélé que sa première bande dessinée était "Le Trésor de Rackham-le-Rouge", tandis que Thomas se souvenait de son premier Tintin, "L'oreille cassée". Riad a exprimé son admiration pour Hergé, notant : "J'adore toutes les névroses qu'il a mises dans Tintin". Cependant, il a constaté que ses enfants ne partageaient pas cet engouement, préférant des œuvres comme "Les Schtroumpfs". Thomas a également partagé son expérience en tant que président du jury, mentionnant qu'il avait à lire environ 50 bandes dessinées.
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Il a souligné la richesse formelle de la bande dessinée, notant que "la bande dessinée reste une forme d'expression artistique extrêmement libre". Il a exprimé son appréciation pour la variété des propositions visuelles dans la bande dessinée, affirmant qu'elle n'était pas toujours présente dans le cinéma contemporain. La discussion a également abordé la dimension graphique des Daft Punk. Thomas a expliqué que, bien qu'il ne dessine pas lui-même, il a été influencé par des éléments visuels dans la création de l'identité du groupe. Riad a partagé son admiration pour l'univers des Daft Punk, tout en évoquant son propre parcours artistique, où il a souvent exploré des thèmes de la "loose" et de la timidité.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].