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Ils ont perturbé la fashion week pour faire passer leur message
Le défilé Louis Vuitton a été le théâtre d'une action militante marquante, où cinq activistes ont réussi à s'infiltrer dans l'événement. Selon l'un des militants, "les chances que ça marche, il y a une seule personne qui arrive". Ce groupe n'était pas là pour admirer la mode, mais pour dénoncer les excès de l'industrie textile. Sarah, l'une des militantes, a exprimé son dégoût face à "tout ce gâchis, toute cette consommation".
Ces militants déballent les emballages plastique dans un supermarché
Leur action, qui consistait à déployer une banderole, s'inscrit dans une série d'interventions visant à attirer l'attention sur les problèmes environnementaux liés à la mode. Les militants soulignent que l'industrie de la mode est l'une des plus polluantes au monde, représentant "10 % des gaz à effet de serre mondiaux". Ils font face à une crise environnementale majeure, la sixième extinction de masse, exacerbée par la surproduction de vêtements. En entrant dans le défilé, ils ont voulu faire passer un message fort : "la surproduction, ça valait l'extinction". En parallèle, ils ont critiqué le greenwashing pratiqué par certaines entreprises, appelant à un véritable changement de modèle.
Les actions des activistes au défilé
Une fois à l'intérieur du défilé, les activistes se sont retrouvés dans un cadre extravagant, avec un "tapis rouge, des lustres en cristal et des stars installées un peu partout". Au moment où le défilé a commencé, ils ont utilisé cet espace pour faire entendre leur voix. L'un des militants a expliqué qu'ils avaient prévu de "contacter nos messages et de s'en servir dans le défilé avec les mannequins". Leur objectif était de faire passer un message clair : il est urgent que l'industrie de la mode change ses pratiques. Cependant, leur action n'est pas sans risque.
Brut a suivi Jean Jacques Ndjoli, directeur artistique
Alors qu'ils tentaient de faire passer leur message, l'un des militants a été rattrapé par la sécurité. Il a décrit la scène : "d'abord par une personne de la sécurité qui a essayé de me plaquer au sol". Malgré ces obstacles, les activistes insistent sur le fait qu'il est crucial d'agir pour provoquer un changement. Ils souhaitent que les consommateurs comprennent que "ce n'est pas vous culpabiliser vous en tant qu'individu", mais plutôt de demander aux grandes marques de prendre leurs responsabilités. Ils appellent à une mode plus écologique, prônant le recyclage et la réutilisation des vêtements, plutôt que la surproduction et la surconsommation.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].
