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Dans l'une des décharges sauvages de Nestlé dans les Vosges
Pendant ce temps-là près de Vittel, dans l'une des décharges sauvages du groupe Nestlé
Dans la principale décharge de plastique de Nestlé, située près de Vittel, la situation est alarmante. Un visiteur, visiblement choqué par ce qu'il découvre, partage son malaise : "Chaque fois que je viens ici, j'ai un malaise. Effectivement, les gens qui découvrent n'y croient pas. " Cette décharge, qui ressemble à une colline artificielle faite de plastique et de résidus de bâtiments, est un véritable symbole de la pollution. Les bouteilles, bien visibles, portent le sigle de la Société des Eaux minérales, ce qui rend leur provenance indéniable.
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Le visiteur souligne également la présence de blocs de PVC, qui, lorsqu'ils brûlent, dégagent des substances toxiques comme le chlore et le dioxyde de carbone. Il évoque également des "grosses masses" appelées purges, qui sont des résidus d'eau solidifiés lorsque le processus industriel s'arrête. Selon lui, ces éléments pourraient être le résultat d'échecs industriels, enterrés dans la nature. Il déclare : "Scandale n'aime pas ce mot de laisser tout mon l'État en disant, on va surveiller la dégradation du plastique." Il met en lumière l'inefficacité des mesures actuelles, affirmant que "dans 400 ans, il n'y aura plus que des microplastiques qui se seront infiltrés dans les sols et dans l'eau. "
Les implications de cette décharge sur l'environnement
Le visiteur souligne qu'il est encore trop tôt pour mesurer la pollution, mais il est convaincu qu'elle existe. Il se remémore des discussions avec des travailleurs des Yvelines, qui ont confirmé que "le processus industriel n'était absolument pas maîtrisé. " Nestlé a reconnu, bien que de manière déclarative, qu'il y avait plusieurs décharges, dont quatre spécifiquement pour le plastique. Il s'interroge sur les pratiques passées : "Est-ce qu'il faut s'imaginer qu'ici il y avait une fosse où on jetait les résidus plastiques et on les enflammait ?"
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Il évoque également la responsabilité de Nestlé dans cette situation, en rappelant que l'entreprise a hérité d'un problème qu'elle ne peut ignorer. "C'est surtout faux dans les années où ces décharges ont été réalisées," dit-il, soulignant que Nestlé possédait 30 % du capital de la Société des Eaux à l'époque. Il conclut en affirmant que l'entreprise a un devoir d'agir, peu importe les résultats : "On réussira ou on ne réussira pas, mais on doit agir. "
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].