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La zoochose touche beaucoup d'animaux en capitivité
Automutilation et comportements répétitifs chez les animaux en captivité
La zoochose est un terme qui désigne les comportements anormaux observés chez les animaux captifs, tels que l'automutilation, les mouvements de bascule et le nettoyage excessif. Ces comportements sont souvent le résultat de plusieurs facteurs, notamment la frustration, le stress, le confinement et le manque de lien social. Comme l'explique un spécialiste, "sans la stimulation constante qu'implique la survie dans la nature, les animaux tombent dans l'ennui." Cet ennui peut devenir une source de stress, poussant les animaux à se livrer à des comportements répétitifs, tels que la marche ou la toilette. Les conséquences de ces comportements peuvent être graves.
Les zoos humains
Parfois, les animaux développent des comportements d'automutilation ou même de coprophilie. Pour atténuer ces problèmes, certains zoos, en particulier ceux qui disposent de ressources suffisantes, mettent en place des programmes d'enrichissement. Ces activités visent à stimuler les instincts naturels des animaux et à empêcher la routine de s'installer. Selon des études, "les enrichissements permettraient de diminuer la zoochose dans 53 % des cas. " Cependant, cette approche n'est pas universelle et reste problématique dans les cirques et autres établissements moins bien financés.
Solutions et débats autour de la zoochose
Face à la gravité de la situation, certaines solutions sont envisagées pour améliorer le bien-être des animaux en captivité. Parmi celles-ci, l'utilisation d'antidépresseurs, comme le Prozac, est de plus en plus discutée. En 2010, la vente de médicaments destinés aux animaux a rapporté des milliards de dollars aux États-Unis, ce qui soulève des questions éthiques sur la gestion de la santé mentale des animaux captifs.
Les zoonoses, ces maladies transmises par des animaux
Des associations militent également pour la fermeture des zoos, mettant en avant l'impact négatif de ces établissements sur la santé des animaux. Un fait marquant est que "un éléphant en captivité vit en moyenne moitié moins longtemps qu'un éléphant sauvage." Ce constat souligne l'importance de repenser notre approche envers les animaux en captivité et d'explorer des alternatives qui respectent leur bien-être et leur nature.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].