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RDC : sur la trace des gorilles
Une rencontre avec les gorilles
Dans le parc national de Kahuzi-Biega, en République démocratique du Congo, Charles Villa, pour Brut, s'est aventuré dans la forêt pour observer une famille de gorilles dans leur habitat naturel. Il a suivi Fabrice Martinez, un passionné de gorilles qui a fondé une association dans les années 80 pour soutenir les rangers protégeant cette espèce menacée. Fabrice explique que "protéger les gorilles, c'est aussi venir en aide aux gens", soulignant l'interconnexion entre la nature et les communautés locales.
Cette réserve de RDC est un sanctuaire pour les bonobos
Il a mis en place des initiatives pour fournir des équipements aux patrouilles anti-braconnage, car "on ne peut pas protéger les gorilles si on n'aide pas les gens qui vivent aux limites des parcs". Chaque famille de gorilles a son propre territoire, et dans cette région, on trouve le rare gorille de plaine orientale. Fabrice mentionne que "les rangers prennent des risques tous les jours pour sauver ce territoire protégé", malgré les dangers permanents, y compris les attaques de groupes armés. Il souligne que ces gardes, qui gagnent très peu, méritent un soutien continu pour leur travail acharné.
L'expérience d'observation des gorilles
Au cœur de la forêt, Charles et son équipe avancent prudemment pour ne pas déranger la faune. Les pisteurs, experts dans la connaissance de la forêt, utilisent leurs compétences pour repérer les traces des gorilles. Charles partage son émerveillement : "Ce que j'aime lorsqu'on rentre en forêt, c'est le silence", une sensation qui lui rappelle son enfance et son rêve d'observer les grands animaux en Afrique.
L'histoire derrière le célèbre selfie avec des gorilles
Il évoque sa première rencontre avec un gorille en 1986 au Parc des Volcans au Rwanda, une expérience qui l'a profondément marqué. "C'était vraiment impressionnant", se souvient-il, décrivant comment il s'est approché du gorille jusqu'à presque le toucher. Cette rencontre a été déterminante pour son engagement envers la protection des gorilles. Charles souligne l'importance de cette connexion, affirmant que "le gorille comprend l'homme comme une espèce quasiment semblable". Il conclut en exprimant son indignation face à la maltraitance des animaux, affirmant qu'il est inacceptable de nuire à des créatures si proches de nous.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].