Cette vidéo sera publiée prochainement
Le message de la jeunesse à l'occasion de la grève mondiale pour le climat
Grève mondiale pour le climat : ils ont un message pour vous
À l’occasion de la grève mondiale pour le climat, des jeunes des quatre coins du globe ont tenu à faire passer un message au monde entier. Ils l’ont fait à travers Brut.
Chacun à leur tour, des jeunes des plusieurs pays différents ont souhaité passer un message au reste du monde. Ce projet a été réalisé dans le cadre de la grève mondiale pour le climat qui se tient ce 25 septembre.
Un message international et commun
Du Kenya, Fazeela l'affirme : « Dans des pays comme le mien, cette année, nous avons eu des inondations extrêmes et une invasion de criquets. » Depuis la Turquie, Atlas souhaite alerter sur le fait que « nous devons lutter contre la crise climatique, car elle se produit maintenant, et non pas dans le futur. C'est scientifiquement la plus grande menace à laquelle l'humanité ait jamais été confrontée ».
Ridhima Pandey, indienne déclare quant à elle : « Dans notre pays, nous avons tous commencé à constater les effets du changement climatique sur notre vie quotidienne. Les catastrophes telles que les cyclones, les inondations dans les plaines et les glissements de terrain dans les régions montagneuses augmentent de jour en jour, de manière drastique. » Aussi appelle-t-elle les jeunes à la mobilisation.
En Russie, Karina tire la sonnette d'alarme : « La croissance économique ou la localisation de nos ressources ne m'intéressent pas, mais il est même impossible d'imaginer une vie heureuse avec une crise climatique. Nous, les humains, serons obligés de survivre dans des conditions non naturelles. »
En Europe
Chez nos voisins allemands, Océane poursuit : « Aujourd'hui, c'est la dernière ligne droite pour agir contre le changement climatique et faire de ce monde un monde meilleur. En tant que citoyens de la Terre, il est de notre responsabilité de soutenir les politiciens pour qu'ils soient courageux face à la plus grande tâche du XXIème siècle. Arrêter la sixième extinction massive et faire de la Terre un monde durable et pacifique. »
Youna, belge, dénonce de son côté les décideurs politiques. Selon elle, ils « n’ont pas pris suffisamment de mesures et nous sommes donc toujours confrontés à l'urgence ». Enfin, selon le Français Michael, « nous continuerons à marcher, à désobéir, à sensibiliser pour montrer qu’aujourd’hui une réelle justice climatique et sociale n’est pas compatible avec notre système économique ».