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2009 → 2019 : Les choses peuvent aussi changer pour le mieux en l'espace de 10 ans
En l'espace de dix ans, des initiatives écologiques ont montré qu'il est possible d'apporter des changements positifs significatifs. Par exemple, au Chiapas, au Mexique, un projet nommé Scolel Te a permis de planter 300 000 arbres sur plus de 9 000 hectares. Ces arbres, qui occupent une superficie équivalente à 3,5 terrains de football, ont capturé plus de 900 tonnes de carbone. Plus de 1 200 petits propriétaires et 2 500 familles sont directement impliqués dans ce projet, ce qui souligne l'importance de l'engagement communautaire dans la lutte contre le changement climatique.
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Un autre exemple marquant est la situation de la couche d'ozone. Découvert en 1950, le trou de la couche d'ozone est en pleine rémission. Depuis 2000, sa superficie a diminué de 4 millions de km², soit l'équivalent de la moitié des États-Unis. Cette amélioration est en grande partie due à l'interdiction des substances nocives, mise en place par l'accord de Montréal. Ce dernier a permis à la couche d'ozone, qui absorbe les rayons UV dangereux pour les êtres vivants, de commencer à se régénérer.
Des succès notables en matière de conservation
La conservation des espèces a également connu des succès notables, comme en témoigne la situation des tigres au Népal. Le nombre de tigres vivant dans ce pays est passé de 120 à 235, grâce à des actions de conservation efficaces. Des mesures ont été mises en place pour limiter la contrebande, notamment un durcissement des sanctions, ce qui a contribué à la protection de cette espèce emblématique. Un autre exemple inspirant est celui du marécage de Surajpur, qui a été sauvé en cinq ans par un ingénieur indien, Ramveer Tanwar. Grâce à l'implication des populations locales, l'eau a été nettoyée des déchets industriels, permettant ainsi aux oiseaux migrateurs de 12 pays différents de revenir dans la région.
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Ce projet montre comment la collaboration entre les communautés et les experts peut mener à des résultats environnementaux positifs. Enfin, la mer d'Aral, située entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan, a également connu une résurrection. Le niveau de l'eau a augmenté de 6 mètres et sa zone nord a retrouvé 18 % de sa surface initiale. Cela a été possible grâce à la construction d'un barrage et aux efforts des habitants pour restaurer cet écosystème vital, qui avait été gravement affecté par le détournement des fleuves par l'URSS dans les années 1960 pour irriguer des champs de coton. Ces exemples illustrent comment des efforts concertés peuvent conduire à des changements environnementaux positifs au fil du temps.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].
