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Guyane : gérer les conflits entre prédateurs et éleveurs

Pacifier les relations entre les éleveurs guyanais et les grands félins qui s'attaquent à leurs troupeaux. C'est l'objectif de Tommy Gaillard, qui les aide à trouver des solutions adaptées et non-violentes.
Publié le
06
/
02
/
2019

Pacifier les relations entre les éleveurs guyanais et les grands félins


Tommy Gaillard, un expert engagé dans la protection des éleveurs en Guyane, a pour objectif d'accompagner ces derniers dans la mise en place de mesures visant à limiter les attaques des félins sur leurs troupeaux. Il souligne l'importance de trouver des solutions adaptées et non-violentes. Il déclare : "Mon objectif ici en Guyane, c'est vraiment de pouvoir accompagner des éleveurs à leur donner des mesures pour limiter les attaques félin. " Selon lui, il est crucial d'offrir des alternatives et des conseils pour éviter que les éleveurs ne se tournent vers des solutions extrêmes, comme le tir sur les jaguars.

Il soigne les animaux des personnes en situation de précarité

Les défis auxquels sont confrontés les éleveurs sont considérables. Gaillard mentionne que depuis l'année dernière, environ 70 animaux ont été perdus à cause des attaques de félins. Il explique que la compétition pour les ressources devient de plus en plus intense, exacerbée par la déforestation qui transforme les habitats naturels en terres agricoles. "C'est quoi ces alors c'est ça, tu interactions entre les activités humaines et Samsung sauvage qui est plus en plus importante", dit-il, soulignant l'impact des activités humaines sur la faune locale.


Solutions innovantes pour protéger le bétail


Pour répondre à ces défis, Tommy Gaillard propose des solutions innovantes. L'une de ces solutions consiste à utiliser des colliers équipés de systèmes de localisation pour les félins. Ces colliers permettent de délimiter des zones où se trouvent le bétail domestique, alertant ainsi les éleveurs en cas de présence d'un félin. Gaillard explique : "Lorsque le félin arrive et qui porte un collier, ça alerte l'éleveur directement.

La biodiversité de ce parc national de Centrafrique est gravement menacé

" Cette méthode permet aux éleveurs de mieux surveiller leurs animaux et d'agir rapidement en cas de danger. Cependant, Gaillard reconnaît que tous les éleveurs ne peuvent pas se permettre d'attendre des solutions non-violentes. Il mentionne que certains n'ont d'autre choix que de tirer sur les félins pour protéger leur gagne-pain. "Il faut mettre en place de moyens pour ceux qui sont pas d'autre choix que de tirer dessus", dit-il, soulignant la nécessité d'une approche équilibrée qui prenne en compte les besoins des éleveurs tout en protégeant la faune sauvage.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].