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L'air que l'on respire est-il vraiment plus nocif qu'avant ?

LES DOCS NATURE. Respirer un air de mauvaise qualité, ça tue près de 7 millions de personnes par an dans le monde. Lucas a voulu comprendre : l'air qu'on respire est-il vraiment de plus en plus nocif ? Voici ce qu'il a découvert.
Publié le
21
/
04
/
2024

Les docs nature


Lucas , dans son exploration de la pollution de l'air, souligne que respirer un air de mauvaise qualité entraîne la mort de près de 7 millions de personnes chaque année dans le monde. Il note que cette statistique est comparable à la population de Madrid, ce qui rend la situation alarmante. Selon Lucas, seuls sept pays dans le monde respirent un air sain, tandis que tous les autres souffrent d'une pollution excessive. Il explique : "La pollution de l'air, c'est la quatrième cause de décès dans le monde, derrière le tabac, mais loin devant l'alcool.

5 idées reçues sur la pollution de l'air

"Cette réalité est d'autant plus préoccupante que l'air, souvent associé à la pureté, est devenu un "tueur silencieux ". Lucas évoque également les données du rapport State of Global Air, qui montrent une augmentation des décès liés à la pollution de l'air, passant de 2 millions en 1990 à 4,1 millions en 2019. Il s'interroge sur l'impact des particules fines, ou PM2.5, qui sont responsables de la majorité des décès liés à la pollution. Il explique que ces particules, lorsqu'elles sont inhalées, peuvent induire des molécules oxydantes dans les poumons, entraînant un stress oxydant et des réponses inflammatoires. Lucas précise que les conséquences de cette pollution sont variées, allant des cancers du poumon aux maladies cardiovasculaires.


État de la pollution de l'air dans le monde


Lucas se penche sur les pays ayant la meilleure qualité de l'air en 2023, citant Maurice, l'Islande et Grenade comme des exemples. Il souligne que ces pays, avec la Nouvelle-Zélande, l'Australie, l'Estonie et la Finlande, sont les seuls à respecter les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé concernant les particules fines. En revanche, des pays comme le Bangladesh, le Pakistan et l'Inde dépassent largement ces recommandations, parfois jusqu'à dix fois. Lucas mentionne que ces disparités sont souvent liées à des facteurs économiques et sociaux, les pays en développement étant généralement plus vulnérables à la pollution.

La population nigeriane est asphyxiée par la pollution

Il aborde également les différences entre les types de pollution. Par exemple, il note que la pollution intérieure a diminué, tandis que les décès dus à l'ozone et aux particules fines ont augmenté. Lucas explique que la situation varie considérablement d'un pays à l'autre et même à l'intérieur des pays. Il conclut en soulignant l'importance de continuer à appliquer des politiques pour améliorer la qualité de l'air, car malgré les progrès réalisés, la pollution de l'air reste un enjeu majeur de santé publique.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].