Pendant ce temps-là… – Il enregistre les sons de la nature

Enregistrement des sons de la nature

Marc, audio-naturaliste, consacre son métier à écouter et enregistrer les sons de la nature. Il explique : "Mon métier consiste à passer beaucoup de temps dans la nature à écouter ce qui se passe, les sons qui se déploient dans le paysage." Ces enregistrements sont utilisés pour divers projets, notamment des documentaires animaliers et des expositions. Marc utilise des micros d'ambiance dissimulés dans des filets de camouflage pour capter les sons de la faune.

Le chant des baleines

Il précise : "Je vais repérer un lieu un peu stratégique, je vais laisser les micros et puis je vais les programmer pour qu'ils se déclenchent." Il se concentre sur la nature de proximité, cherchant à se fondre dans le rythme des animaux. Il mentionne l'importance de ces moments : "C'est inestimable pour vivre ces moments-là." En plus des chants d'oiseaux, il enregistre aussi les ambiances liées aux éléments naturels, comme le son du vent ou des cours d'eau. Marc souligne que chaque son a son importance : "Ça fait aussi partie de mes sujets de travail."

Techniques d'enregistrement

Marc utilise des techniques spécifiques pour capter les sons de la nature. Lorsqu'il enregistre le chant d'un oiseau, il utilise une parabole pour obtenir un enregistrement de haute qualité. Il explique : "On obtient un enregistrement avec beaucoup de dynamique, ça permet de créer un effet proximité." Cette méthode lui permet de se rapprocher des sons sans déranger les animaux.

Une nuit en forêt pour observer le brame des cerfs

Son parcours dans l'audio-naturaliste a commencé à un jeune âge, mais il a évolué vers une approche plus naturaliste grâce à des rencontres déterminantes. Il se souvient : "J'ai commencé quand j'étais enfant vers l'âge de 10 ans, simplement pour le plaisir de capter des sons." Au fil des années, il a observé une évolution dans le paysage sonore, notamment avec l'augmentation du trafic aérien. Il note que cela a un impact sur les enregistrements qu'il réalise, en particulier dans les forêts. Marc conclut en soulignant que les sons captés sont souvent différents de ceux que l'on entend dans les films documentaires, car "l'animal qu'on voit à l'écran est très rarement celui qu'on entend."

Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].