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Son métier : marin pêcheur
C'est son métier
Quentin, un marin pêcheur de 23 ans, partage son quotidien en mer, un environnement qu'il connaît depuis son enfance. Il explique : "Là il est 4h et je prépare le bateau pour aller en mer." Ce métier exigeant requiert une grande patience et une capacité d'adaptation. Quentin mentionne que "c'est une question d'habitude," soulignant que les horaires peuvent être difficiles, mais il s'y est habitué. Pour lui, la mer est essentielle : "Je me verrais mal maintenant, me séparer de la mer." Issu d'une famille de marins pêcheurs, il a toujours été entouré par cette culture maritime.
Son métier : charpentier de marine
"J'ai toujours vu des bateaux, j'ai toujours été sur des bateaux," dit-il, ce qui rend son choix de carrière presque évident. Cependant, sa mère avait des réserves à cause de la dureté du métier et de l'insécurité des revenus. "C'est pas évident de construire une vie de famille avec des salaires non pas fixes," admet-il. Malgré ces défis, Quentin trouve une beauté dans la solitude en mer, appréciant la liberté que cela lui procure : "On se dit, on est seul au monde, il n'y a personne."
Les défis du métier
Le métier de marin pêcheur n'est pas sans ses difficultés, notamment les conditions climatiques. Quentin explique que "le plus dur, ça va être le mauvais temps," car cela rend le travail plus fatigant. Il doit constamment rester vigilant, "regarder partout," et s'assurer de sa sécurité. Ce qui le motive, c'est l'incertitude de chaque journée : "C'est de tirer son filet et de ne pas savoir ce qu'il va avoir dedans." Cette surprise peut être à la fois réjouissante et décevante.
C'est mon métier : ostréiculteur
Concernant les espèces qu'il pêche, Quentin se concentre sur le roncibé, une espèce qu'il sait pouvoir vendre à un prix correct. Cependant, il exprime son mécontentement face à sa pêche actuelle : "Non, non, non. Il faudrait que je fasse au moins quoi." Il critique également les perceptions extérieures de son métier, notamment celles des ONG qui, selon lui, ne comprennent pas la réalité des pêcheurs. "Moi je veux aller en mer, payer ce que j'ai à payer, me faire un salaire, vivre de mon métier, ma passion," conclut-il, affirmant son engagement envers cette profession qu'il chérit.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].