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L'année bissextile vue par des élèves en 1981

"Parce que c'est une année bissestile." Cette année, le mois de février se termine le 29. Mais pourquoi ? Voici comment des élèves de primaire l'expliquaient en 1981.
Publié le
28
/
02
/
2024

Parce que c'est une année bissextile


Les élèves de primaire en 1981 ont tenté d'expliquer le concept d'une année bissextile, une notion qui peut sembler complexe. L'un des élèves a commencé par dire : "C'est chaque 4 ans", soulignant que cette particularité du calendrier se produit tous les quatre ans. Cette explication simple met en lumière la fréquence des années bissextiles, qui ajoutent un jour supplémentaire au mois de février.

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Un autre élève a ajouté une dimension temporelle à cette explication en mentionnant que "dans une année, il y a 365 jours, c'est plus le temps d'un jour". Cela fait référence à la nécessité d'ajouter un jour supplémentaire pour compenser le fait que l'année solaire est d'environ 365,25 jours. Ainsi, tous les quatre ans, un jour est ajouté pour corriger cette différence.


Les raisons derrière l'année bissextile


Les élèves ont également discuté des implications de cette addition d'un jour. Un élève a expliqué que "chaque an avant, il y avait 26 heures en plus dans chaque année". Cette remarque fait allusion à la manière dont le temps s'accumule et nécessite une correction.

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En effet, après quatre ans, cela représente un total de 24 heures, ce qui justifie l'ajout d'un jour supplémentaire. Un autre élève a mentionné que "la médicare, elle est plus longue que celle de la médicare", ce qui semble faire référence à la durée des années et à la façon dont le calendrier est ajusté. Cette discussion montre que même à un jeune âge, les élèves peuvent comprendre des concepts mathématiques et astronomiques complexes, comme le besoin d'ajuster le calendrier pour rester en phase avec les saisons.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].