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Profession : maréchale-ferrante

"Pour beaucoup de gars, les femmes étaient trop fragiles pour pouvoir maîtriser un cheval…" Mylène leur a prouvé le contraire. Amoureuse des chevaux, elle est devenue maréchale-ferrante. Et son quotidien, c'est ça.
Publié le
31
/
03
/
2023

Le métier de maréchale-ferrante : un défi pour les femmes


Mylène, maréchale-ferrante passionnée , a brisé les stéréotypes selon lesquels les femmes seraient trop fragiles pour maîtriser un cheval. Elle explique : "On s'occupe de couper les ongles et de mettre des chaussures au chaud." Ce quotidien exigeant demande non seulement des compétences techniques, mais aussi une grande force physique et mentale. Mylène évoque également les défis qu'elle rencontre : "Malheureusement, elle a un petit souci de membres comme un moule si j'ai bien coupé trop loin. " Cela montre que le travail de maréchale-ferrante n'est pas sans risques et nécessite une attention constante.

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Pour Mylène, chaque cheval est unique et nécessite des ajustements spécifiques. Elle mentionne : "Donc là je vais mettre les fers au feu pour pouvoir les ajuster à la bonne taille. " Cette précision est essentielle pour assurer le bien-être des chevaux. En appliquant du chaud, elle doit agir rapidement : "Quand tu viens appliquer du chaud, en fait, c'est juste quelques secondes. " Cette rapidité et cette expertise sont des éléments clés de son métier.


L'évolution des mentalités dans le milieu équestre


Mylène souligne que les perceptions autour des femmes dans le domaine équestre ont évolué. Elle affirme : "Guitare pas assez fort pour pouvoir maîtriser un cheval et tout ça au fil du temps qui arrive à peut changer les choses aujourd'hui. " Cela témoigne d'un changement progressif dans la reconnaissance des compétences des femmes dans des métiers traditionnellement masculins. Elle partage également son expérience personnelle : "

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Au premier abord en capsule comme et aujourd'hui passé 4 ans 4 ans qu'on est ensemble et c'est changerai pas. " Cette longévité dans sa carrière est le reflet de sa détermination et de sa passion. Mylène conclut en disant que "l'amour du cheval, la passion de ce milieu" sont les véritables moteurs qui la poussent à continuer dans ce métier exigeant.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].