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Zoé, 16 ans, prépare les brioches traditionnelles de Meneham

"Les potes de mon âge… ils me disent que je suis motivée." Elle, c'est Zoé. Elle a 16 ans et cet été, chaque samedi, elle a pris la relève d'Henri, le boulanger du village de Meneham. Un ancien village de pêcheurs où elle prépare des pastès, des petites brioches traditionnelles. Pendant ce temps-là, dans le Finistère en Bretagne.
Publié le
05
/
09
/
2024

La passion de Zoé pour la boulangerie


Zoé, une jeune fille de 16 ans, a pris la relève d'Henri, le boulanger du village de Meneham, cet été. Chaque samedi, elle se consacre à la préparation des pastès, des petites brioches traditionnelles bretonnes. Elle explique : "T'es fière quand tu les vois sortir du four tes brioches ? Ça dépend. Des fois oui, des fois non." Malgré ses doutes, elle se sent satisfaite de son travail, surtout quand elle voit le résultat de ses efforts.

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"Là, ça va. Elle est pas mal quand même," ajoute-t-elle en parlant de ses créations. Zoé a été sollicitée par l'association Avel Days, qui vise à promouvoir la culture bretonne. Elle mentionne que "nous, on produit, c'est vraiment ce qu'on a envie." En plus de préparer les brioches, elle participe à des événements locaux, comme le Face Day, où les habitants peuvent acheter les pastès. Cette expérience lui permet de s'impliquer dans la communauté tout en préservant les traditions culinaires de sa région.


Les défis et les plaisirs de la boulangerie


Travailler à la boulangerie n'est pas sans défis. Zoé admet que le métier peut être fatigant, mais elle précise que cela dépend de l'envie et de la passion de chacun. "Pour moi c'est pas difficile, c'est plus fatigant," dit-elle. Elle commence souvent sa journée à 9h, car, comme elle le souligne, "je n'ai pas encore le charmin," ce qui signifie qu'elle a besoin d'aide pour se rendre au travail. Les retours de ses amis sont également un aspect important de son expérience.

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Ils lui disent souvent qu'elle est "motivées," ce qui lui apporte une certaine fierté. Zoé apprécie le partage intergénérationnel avec des personnes comme Bernard, un bénévole qui l'aide à la boulangerie. Elle reconnaît que "c'est important aussi d'apprendre des enseignements." En fin de compte, malgré les sacrifices, elle ne ressent pas cela comme un fardeau. "Non, pas du tout," répond-elle lorsqu'on lui demande si elle se sent sacrifiée. Pour elle, faire des brioches est avant tout un plaisir et une façon de contribuer à la tradition de son village.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].