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Aucun bébé n'arrive à survivre depuis 3 ans
La situation des orques résidant au large du Canada est alarmante. Morgane Trussardi, une youtubeuse engagée dans la campagne #WeAreTheOrca, souligne que "le dernier bébé est mort au bout de 30 minutes" et qu'il n'y a pas eu de naissances viables depuis trois ans. Ce constat tragique met en lumière les défis auxquels ces créatures majestueuses font face. Les orques, en particulier celles de la population résidente du Sud, dépendent presque exclusivement du saumon, une proie qui devient de plus en plus rare.
Marineland : une orque morte de façon prématurée
Morgane explique que "ça fait des années qu'il y a quatre barrages qui empêchent la remontée" des saumons, ce qui complique leur reproduction et leur survie. Les saumons d'élevage, qui sont censés être une alternative, posent également un problème majeur. Morgane mentionne que ces poissons "ont développé un virus qui transmettent au saumon sauvage", aggravant ainsi la situation. Les conditions dans les fermes aquacoles sont décrites comme "horribles", avec des saumons entassés, recevant une nourriture de mauvaise qualité, souvent contaminée. Elle ajoute que "trop de toxines dans le corps donne des fausses couches", ce qui impacte directement la population d'orques.
Les solutions pour sauver les orques
Face à cette crise, Morgane Trussardi évoque trois solutions cruciales pour aider les orques résidentes du Sud. La première, et selon elle la plus importante, est de "détruire ces quatre barrages qui empêchent la remontée des saumons" . Cela permettrait de rétablir l'accès à une source de nourriture essentielle pour les orques. La deuxième solution concerne l'élevage de saumons.
Marineland : la santé des orques toujours préoccupante
Morgane souligne que "les saumons d'élevage sont contaminés et ils contaminent les saumons sauvages", ce qui nécessite une intervention urgente pour protéger les écosystèmes marins. Enfin, elle mentionne un projet de loi proposé par le Premier ministre Justin Trudeau, qui vise à agrandir un pipeline de transport de pétrole. Morgane avertit que "l'eau est beaucoup trop contaminée là-bas" et que "les risques de déversement de pétrole" seraient catastrophiques pour les orques. Morgane conclut en affirmant que la prise de conscience autour de cette problématique commence à croître, tant au Canada qu'en France. Elle espère que les médias s'intéresseront davantage à cette cause, car "c'est horrible de dire que ces gens-là ont grandi avec ces animaux" et qu'ils voient aujourd'hui leur disparition. Les communautés locales, notamment en Colombie-Britannique, sont profondément attachées à ces créatures, et les dessins représentant les orques sur les murs témoignent de cet amour et de cette connexion.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].
