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"J’allais rapper, nuit blanche, premier train direction l’école"

"J’allais rapper, nuit blanche, premier train direction l’école. J’ai fait ça un nombre incalculable de fois." On a roulé dans les rues de Paris, la nuit, avec Niro. Son nouvel album Taulier, sa "génération parking", son rapport à la nuit et comment elle l’inspire… Voici un nouvel épisode de Brut Night.
Publié le
10
/
02
/
2023

La nuit et l'inspiration


Niro, rappeur et artiste, évoque l'importance de la nuit dans sa créativité. Il explique que "la nuit, c'est toi et ton miroir", soulignant que cette période permet une introspection profonde. Pour lui, la nuit est un moment où il se sent plus à l'aise pour créer. Il mentionne que "quand je sors, je mets une proche tourne, j'ai des idées qui me viennent beaucoup plus rapidement".

Un jour avec Le Motif à Bruxelles

Cette connexion entre la nuit et l'inspiration est essentielle pour son processus créatif. Il aborde également le rapport à la musique et à la nuit, en affirmant que "la nuit, la musique est un moment propice". Niro partage que, contrairement à la journée où il peut se sentir "dérangé", la nuit lui permet de se concentrer pleinement sur son art. Il évoque sa jeunesse, se remémorant des nuits passées à prendre le premier train pour aller à l'école après avoir travaillé sur sa musique. "Nuit blanche, premier train direction l'école, j'ai fait ça un nombre incalculable de fois", dit-il, illustrant son dévouement à sa passion.


La génération parking


Niro parle de sa "génération parking", une métaphore pour décrire les jeunes qui, comme lui, ont grandi dans des environnements urbains. Il explique que ces expériences de vie influencent sa musique. "Je pense avoir suffisamment trouvé", dit-il, en faisant référence à sa capacité à se connecter avec son public. Il souligne que "70 % des jeunes ont réussi des cheveux", une façon de dire que beaucoup d'entre eux s'identifient à ses paroles et à son parcours.

Une nuit avec des graffeurs dans le métro de Paris

Il aborde également la perception des rappeurs dans la société, en affirmant qu'il ne se considère pas comme un "rappeur dur". Niro insiste sur le fait que les rappeurs ont aussi des émotions et des histoires à raconter. "On a aussi des expériences de vie. On a des déceptions, on a des amours", explique-t-il, montrant une facette plus vulnérable de son art. Cette approche lui permet de toucher un public plus large, en partageant des thèmes universels qui résonnent avec ses auditeurs.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].