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Le "parasitisme de couvée" chez les coucous
Le comportement du coucou et le parasitisme de couvée
Âgé de quelques minutes, cet oisillon est pourtant déjà un tueur et un imposteur. Ce comportement est particulièrement fascinant et choquant, car ce nid n'est pas le sien. Sur les 130 espèces de coucou, une petite partie utilise le "parasitisme de couvée" pour économiser de l'énergie. Cette technique consiste pour la femelle à subtiliser un œuf dans le nid d'une femelle d'une autre espèce et à y pondre un des siens.
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La mère adoptive, en découvrant le nid, retrouve ainsi le même nombre d'œufs et continue de couver comme avant. Dans la plupart des cas, l'œuf parasite éclot plus tôt que les œufs de son nid d'adoption. Cela permet à l'oisillon, une fois né, de tuer tous les autres. Nu et aveugle, son premier réflexe est de jeter les autres œufs par-dessus bord. Ce comportement est non seulement instinctif, mais aussi crucial pour sa survie, car il lui permet de monopoliser l'attention et les ressources de la mère adoptive.
Les conséquences du parasitisme de couvée
Au cours des semaines suivantes, l'oisillon de coucou va ainsi monopoliser toute l'attention de la mère adoptive et la nourriture qu'elle apporte. Ce phénomène soulève des questions sur la dynamique de la relation entre l'oisillon et la mère adoptive. Malgré une différence de taille qui devient de plus en plus évidente, le coucou continue de recevoir des soins et de la nourriture, jusqu'à ce qu'il puisse se débrouiller seul.
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Ce comportement met en lumière les stratégies d'adaptation des coucous face à leur environnement. En exploitant les ressources d'autres espèces, ils assurent leur propre survie tout en mettant à l'épreuve la résilience des mères adoptives. Ce cycle de parasitisme soulève des interrogations sur l'évolution et les interactions entre les différentes espèces dans la nature.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].