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Le premier Festival de Cannes d'Ahmed Sylla
“Je me dis : on opère pas à coeur ouvert, on fait juste du bien à l’âme”
”Je suis jamais venu à Cannes. Je me suis toujours dit : Cannes, je le réserve pour un moment important où j’ai un film à défendre. Et là, j’ai plus qu’un film à défendre”, explique Ahmed Sylla, venu présenter un film d’auteur pour lequel il a eu un “coup de coeur” : “Un Petit frère” de Léonor Serraille. “Au-delà d’être une tranche de vie, ça raconte l’histoire de mes parents”. A quelques heures de la montée des marches, il est serein : “Partout où je vais, j’essaye d’être naturel. Je me dis : on opère pas à coeur ouvert, on sauve pas des vies, on fait juste du bien à l’âme”.
Voici les 3 moments qui ont changé la vie d’Ahmed Sylla
Être acteur, ça n’est pas un rêve d’enfant pour lui : “Je n’ai jamais voulu faire ce métier. Les gens un moment te poussent et te disent : Essaye c’est peut être ça qui va te plaire. Au culot, on a passé quelques castings. Et puis voilà”. Il parle de l’agent et de l’attachée de presse qui l’accompagnent et l’aident à faire les meilleurs choix : “Passer de l’anonymat à la célébrité, ça tu le gères pas tout seul. J’ai une agent incroyable. On fait vraiment des trucs coup de coeur. Peu importe le budget du film, etc. J’ai aussi une attachée de presse qui me dit : On peut pas tout faire. Ça permet aussi à l’esprit de se reposer, des moments où t’arrives à te recentrer un peu.”
Retrouvez la boîte à Snap d’Ahmed Sylla