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Les agriculteurs et la difficulté de leur métier dans les années 60
Quand les agriculteurs français parlaient de la difficulté de leur profession
Dans les années 60, les agriculteurs français exprimaient un profond sentiment de découragement face à leur métier. M. Germain, un cultivateur, souligne que "par rapport au travail qu'on donne, le résultat n'est pas le même que dans une autre profession". Ce constat met en lumière la disparité entre l'effort fourni et la rémunération perçue, un thème récurrent dans les témoignages des agriculteurs de cette époque. Les jeunes agriculteurs, en particulier, sont confrontés à des défis financiers importants. M. Germain mentionne que "les jeunes doivent sortir tellement d'argent pour s'installer", ce qui crée une pression énorme sur leurs épaules.
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La charge de travail est également un point de préoccupation majeur. M. Germain décrit une journée typique, indiquant qu'il se lève "à peu près à 6h" en été et que sa femme ne le voit que "en 8h". Les agriculteurs ne prennent pratiquement jamais de vacances, ce qui contribue à une vie professionnelle éprouvante. "Jamais, jamais. Impossible", déclare-t-il lorsqu'on lui demande s'il a pris des congés. Cette absence de repos souligne l'intensité de leur engagement envers leur travail.
Les aspirations des agriculteurs
Les aspirations des agriculteurs pour l'avenir de leurs enfants sont également préoccupantes. M. Germain exprime clairement qu'il ne souhaite pas que ses enfants suivent ses traces dans l'agriculture, affirmant que "ce serait leur un mauvais service". Il ressent une responsabilité envers eux, conscient que la profession ne leur garantirait pas une vie "humaine". Il se demande comment il pourrait assurer une ferme rentable à ses enfants, étant donné les difficultés qu'il rencontre en tant que "petit fermier". La comparaison avec d'autres professions, notamment celles en milieu urbain, renforce son désespoir.
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M. Germain affirme sans hésitation : "Ah oui, vous croyez ? Ah oui, plus facilement", en parlant des opportunités qu'il pourrait avoir en travaillant dans une usine. Ce sentiment de découragement provient en grande partie de l'absence de rémunération adéquate pour le travail effectué. Il conclut en disant que "d'où vient ce découragement ? Parce qu'il n'y a pas de rémunération vis-à-vis des travaux et des produits que l'on vend", un témoignage poignant sur les défis auxquels les agriculteurs étaient confrontés dans les années 60.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].