Livraison vs magasin : le véritable impact sur la planète

Passer des commandes sur Internet

De nos jours, 80 % des Français passent des commandes sur Internet, ce qui soulève des questions sur l'impact environnemental de cette pratique. Comme l'explique le narrateur, "j'ai décidé de la commander sur Internet". Cela soulève un débat : est-il plus écologique de se faire livrer ses achats ou de se rendre directement en magasin ? Certaines ONG décrivent la livraison comme une "catastrophe écologique", tandis que des entreprises de e-commerce soutiennent que cela pourrait être une meilleure option pour la planète en optimisant les transports. Une étude récente a tenté de répondre à cette question complexe.

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Elle révèle que l'impact environnemental de la livraison par rapport à l'achat en magasin dépend de nombreux facteurs, notamment les choix des e-commerçants et ceux des consommateurs. Le narrateur souligne que "ce secteur a explosé ces dernières années", notamment en raison de la crise Covid, ce qui a intensifié les préoccupations environnementales. Pour illustrer cette problématique, le narrateur examine le parcours de sa commande de baskets. Il mentionne que "4 millions de colis seraient livrés chaque jour en France", avec des pics à 10 millions lors des périodes de forte consommation. Les émissions de CO2 liées à ces livraisons s'élèvent à environ un million de tonnes par an, équivalant à "400 000 allers-retours en avion de Paris à New York". Ce chiffre met en lumière l'ampleur de l'impact environnemental des livraisons.

Les solutions pour réduire l'impact environnemental

Pour réduire l'impact environnemental des livraisons, plusieurs solutions peuvent être envisagées, tant au niveau individuel que collectif. Le narrateur souligne que "l'impact de la livraison, c'était qu'une partie de l'impact global d'un achat", et qu'il est crucial de prendre en compte la production et la fin de vie du produit. Par exemple, pour une paire de chaussures, la livraison représente entre 1 et 10 % de l'empreinte carbone globale. Les consommateurs peuvent agir en choisissant des options de livraison moins polluantes. Le narrateur mentionne que "aller à un point de retrait à vélo ou à pied" est une option favorable, mais cela dépend des possibilités d'accès.

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L'ADEME propose d'augmenter le nombre de points de retrait en zone rurale pour faciliter cette démarche. Au niveau collectif, il est essentiel d'optimiser les tournées de livraison et de privilégier les véhicules décarbonés. Le narrateur évoque que "90 % du transport de marchandises se fait par la route" en France et que des solutions existent pour réduire cet impact. Les entreprises peuvent également proposer des produits plus durables et diminuer les volumes d'emballage. Enfin, il est important de considérer les conditions de travail des livreurs, car "la question de la durabilité du modèle sur le plan à la fois environnemental et social se pose". Ces éléments montrent que des actions concrètes peuvent être mises en place pour réduire l'impact environnemental des livraisons tout en tenant compte des enjeux sociaux.

Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].