Cette vidéo sera publiée prochainement
Le tennis ballon est mort, place au futnet
Le futnet : une nouvelle ère
Vincent Voisinot, capitaine de l'équipe de France de futnet, partage son expérience en tant que champion du monde. Il explique : "J'ai beau être champion du monde, tous les jours je me lève, je dois être en classe parce que je suis un stipt." Cette déclaration met en lumière le défi que rencontrent les athlètes de haut niveau qui doivent jongler entre leur passion pour le sport et leurs responsabilités quotidiennes. Voisinot souligne également que, malgré ces défis, il éprouve un immense plaisir à pratiquer ce sport. Il compare son expérience à celle des champions olympiques qui, après avoir été sous les feux des projecteurs, retournent à une vie plus ordinaire.
À l'entraînement avec l'équipe de France de rugby-fauteuil
Le futnet, qui combine des éléments du tennis, du volley-ball et du football, se joue sur un terrain de 9 mètres par 6,40 mètres. Voisinot décrit les différentes disciplines : "Il y a trois disciplines, le simple, le double et le triple." En simple, il y a un seul rebond et deux touches de balle, tandis qu'en double, les règles ressemblent à celles du beach volley. Le triple, quant à lui, se joue sur un terrain plus grand et permet des interactions plus dynamiques entre les joueurs. Voisinot explique que "le passeur va avoir deux choix d'attaque", ce qui ajoute une dimension stratégique au jeu.
L'entraînement de l'équipe de France
L'équipe de France se prépare intensément pour défendre son titre de champion du monde. Voisinot mentionne que le stage d'entraînement se déroule sur trois jours, intégrant des aspects tactiques, physiques et techniques.
Un jour sur le Tour de France avec la Fédération française de la lose
"Des oppositions, beaucoup d'oppositions parce que les gars sont prêts," dit-il, soulignant l'importance de la préparation en club avant de se rassembler en équipe nationale. Il évoque également le processus de sélection des joueurs, en insistant sur l'importance des affinités entre eux : "Le but, ce n'est pas d'être champion de France, c'est d'être champion du monde." Avec environ 500 licenciés en France, dont 300 à haut niveau, le futnet est en pleine expansion, bien que la République tchèque demeure le berceau de ce sport avec 10 à 20 000 pratiquants. Voisinot conclut avec optimisme : "Malgré tout, on va y aller avec beaucoup d'ambition, parce qu'on sait qu'on l'a fait une fois."
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].