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À 83 ans, Daniel continue de récolter des médailles en saut en hauteur

Il a 83 ans, et son truc, c'est le saut en hauteur. Pendant ce temps-là à Mayenne, Daniel s'entraîne pour les championnats d'Europe 2022…
Publié le
17
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11
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2021

Il a 83 ans, et son truc, c'est le saut en hauteur


Daniel Fernandez, un vétéran de 83 ans, partage sa passion indéfectible pour le saut en hauteur. Il explique : "Bonjour à tous, je m'appelle Daniel Fernandez, je suis un vieux vétéran de 83 ans, ma passion, c'est le sport et en particulier le saut en hauteur." Chaque semaine, il s'entraîne trois à quatre fois à Mayenne, en préparation pour les championnats d'Europe 2022 dans la catégorie des plus de 80 ans. Daniel se décrit comme ayant passé de nombreuses heures sur le stade, affirmant qu'il n'y a pas beaucoup de personnes ayant autant d'expérience que lui dans ce domaine.

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Daniel évoque également ses performances passées, mentionnant qu'il a réussi à sauter 5 cm au-dessus du record de France pour sa catégorie d'âge. Il dit : "J'ai de la chance de pouvoir faire ce que je fais." Pour lui, le saut en hauteur n'est pas seulement une compétition, mais une façon de se sentir maître de son corps. "Quand tu fais un beau saut, tu as l'impression d'être vraiment le maître de ton corps," ajoute-t-il.


Ses exploits et sa philosophie


Avec près de 68 ans d'expérience dans le saut en hauteur, Daniel a remporté de nombreux titres, dont trois championnats du monde dans sa catégorie d'âge à 56, 62 et 76 ans. Il détient également le record d'Europe des plus de 60 ans, établi en 2000 avec un saut de 1,61 mètre. Aujourd'hui, il continue de concourir dans la catégorie des plus de 80 ans, cherchant à donner le meilleur de lui-même.

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Il précise : "Je ne suis pas fan de la compétition à tout prix, vaincre l'autre n'est pas du tout mon objectif." Daniel consacre une heure et demie à deux heures par jour à son entraînement, tout en faisant attention à sa forme physique. Il souligne l'importance de l'activité physique, affirmant que si plus de gens faisaient du sport, cela pourrait alléger la charge sur la sécurité sociale. "Je ne me vois pas arrêté," dit-il, tout en reconnaissant que chaque année, il se dit que ce pourrait être sa dernière. Ses médailles, qu'il montre avec fierté, témoignent de son engagement et de sa détermination à rester actif et en forme.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].