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Un jour avec Nil, moniteur de canyoning
“Je m’éclate”
Depuis 2015, Nil, alias “Le mono de TikTok” est moniteur de canyoning sur une structure artificielle. Dans ses vidéos, il présente son métier et partage des moments complices avec ses clients. “Je suis avec mes clients, je démarre ma GoPro, et dès que je repère une réaction assez atypique, assez drôle, ce qui arrive assez souvent quand même, je le garde. Le soir, je fais un petit montage, ça me prend vingt minutes, je poste la vidéo et puis, voilà, je partage mon plaisir, mon métier, tout ce que je kiffe.” Depuis l’âge de 11 ans, Nil vient sur ces lieux lors de ses vacances. “En grandissant, c'était la suite logique. Tous les étés, je venais là. Mon patron, un jour, il m'a dit : ‘est-ce que tu veux que je t’embauche ?’ Je lui ai dit : ‘OK, vas-y.’ Et maintenant, je suis là”.
Moniteur, animateur, maître-nageur, secouriste, Nil joue sur plusieurs fronts pour proposer le meilleur service possible. “On essaie d'être le plus complet possible, pour, déjà, dans un premier temps, assurer la sécurité du client. Et l'animation, c'est pour que les gens s’éclatent. Il y a rien de pire qu'un moniteur qui est neutre.” Le but de Nil est avant tout de s’amuser avec ses clients, de partager de l’adrénaline et du dépassement de soi : “Je m'éclate. Franchement, on a des Espagnols, des Irlandais, des Français. C'est le meilleur moyen de pratiquer, et en plus, on s'éclate. Ils ont tous le sourire. C'est trop drôle. Ils ont peur, ils sont contents.” Pour lui, pratiquer ce métier est agréable car il offre des moments uniques. “Il y a aussi une part de spectacle oui, histoire de leur faire kiffer. C'est très difficile de trouver un métier, de se lever le matin et de se dire: C’est compliqué. Non, là, j'hésite jamais, je suis toujours en forme, la pêche, la banane. Bon, bien entendu, des fois, j'ai des petits coups de mou comme tout le monde, je ne suis pas un robot.“
Un jour avec un surveillant pénitentiaire
Sa profession lui offre également l’occasion d'être actif et de travailler en plein air plutôt qu’être dans un bureau : “J’ai toujours voulu avoir un métier qui bouge, un peu dans le sport, où je peux être en contact avec des personnes. Voilà, être derrière un bureau, derrière mon ordi, chose que faisait mon père, ça, je ne peux pas le faire.”, ajoute Nil.
Un jour avec Mélanie, coiffeuse