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Une vie : Adèle Exarchopoulos

"J'ai toujours voulu faire de la comédie" À 12 ans, elle décrochait son premier petit rôle dans une série. Révélée dans le film "La vie d’Adèle", elle remporte le César du meilleur espoir féminin. Aujourd’hui, elle revient à #Cannes2024 pour "L’Amour ouf", de Gilles Lellouche. Voici l'histoire d'Adèle Exarchopoulos.
Publié le
22
/
05
/
2024

Une carrière marquée par la chance


Adèle Exarchopoulos explique que le calcul n'a jamais été son fort : "Le calcul, c'est pas bon pour moi. Ça marche pas." Elle évoque son parcours comme un "malentendu" et un "coup de chance". À seulement 9 ans, elle commence à prendre des cours d'improvisation dans le 18e arrondissement de Paris. C'est lors de la distribution de tracts pour un spectacle qu'elle fait une rencontre décisive avec une directrice de casting.

Les rôles d'Adèle Exarchopoulos

Elle se souvient : "Je réussis un casting pour faire un court-métrage. C'est du bénévolat, c'est une semaine." À 12 ans, elle décroche son premier petit rôle dans la série "RIS, Police scientifique", et à 13 ans, elle joue dans le long-métrage "Boxes" de Jane Birkin, incarnant une version adolescente de Lou Doyon. Son parcours prend un tournant majeur à 19 ans lorsqu'elle est choisie pour le film "La Vie d'Adèle", réalisé par Abdelatif Kéchiche. Elle se rappelle : "On m'a annoncé quand on a su qu'on était sélectionnés à Cannes, donc j'ai appris que ça s'appelait La Vie d'Adèle." Ce film lui vaut le César du meilleur espoir féminin à 20 ans, un moment qu'elle décrit comme "complètement inoubliable". Adèle souligne l'importance de cette période d'apprentissage intense : "J'ai l'impression que j'ai tellement appris en un an."


Réflexions sur son parcours


En 2020, Adèle revient sur les controverses entourant le tournage de "La Vie d'Adèle". Elle déclare : "C'est vrai que ça a été entaché par toute une polémique. Moi aujourd'hui, dans mon cœur, j'en garde que des bons souvenirs." Elle trouve essentiel que ceux qui en ont besoin puissent s'exprimer, tout en regrettant que certaines choses aient débordé. Malgré les critiques, elle affirme : "Personnellement, je ne regrette rien.

Une vie : Adèle Haenel

C'est le plus important, je trouve." À 25 ans, elle incarne une actrice en proie au doute dans "Sibyl" de Justine Trié, et à 26 ans, elle joue dans "La Flamme" de Jonathan Cohen. Elle confie : "Mais moi j'ai toujours voulu faire de la comédie." À 29 ans, elle se lance dans le doublage pour la première fois dans le film d'animation "Elementaire" des studios Pixar. Elle décrit son personnage comme quelqu'un de "très très famille". À 30 ans, elle reçoit le César du meilleur second rôle pour sa performance dans "Je verrai toujours vos visages", où elle incarne une victime d'inceste. Elle conclut en soulignant l'importance de découvrir des systèmes peu connus en France, affirmant que cela nécessite "du temps, de l'humain, de l'argent." En mai 2024, elle est de retour au Festival de Cannes pour "L'amour ouf" de Gilles Lelouch.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].