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Le graffiti pour les aveugles
The Blind, un artiste engagé, explique son approche unique du graffiti en braille. Il déclare : "Je suis engagé dans le graffiti pour aveugle parce que je trouvais sympa de donner une voix à l'handicap donner l'accès à la culture pour les personnes déficientes visuelles." Son travail vise à créer un pont entre les voyants et les non-voyants, permettant à chacun de communiquer et de comprendre le message véhiculé par l'art. Il souligne l'importance de cette interaction, mentionnant que "la personne voyante, ne sachant pas forcément l'alphabet braille, va demander à une personne aveugle de traduire." Cette collaboration enrichit l'expérience artistique et favorise un dialogue entre les deux mondes.
Non-voyant, il a développé un 6e sens : l'écholocalisation
L'artiste partage également ses expériences personnelles, révélant qu'il est dyslexique. Il explique que "apprendre encore un autre alphabet, c'est toujours un peu compliqué." Pour surmonter ces défis, il a utilisé Internet, des livres et des rencontres avec des professionnels pour apprendre le braille. The Blind a réalisé des œuvres dans divers lieux emblématiques, comme "j'ai écrit broyer du noir sur le Trocadéro" et "j'ai écrit comment toucher couler sur une vieille épave de bateau prise par la glace." Ces créations témoignent de son engagement à sensibiliser le public à la culture des personnes déficientes visuelles.
L'atelier et la création
Dans son atelier, The Blind collabore avec ses "grands frères de la sérigraphie" pour développer une nouvelle collection autour du braille. Il décrit le processus de création : "Arthur, il est en train de enfiler tous les T-Shirts sur les planches blanches qu'on appelle des jeannettes." Cette étape est cruciale, car elle prépare le terrain pour l'impression du braille. The Blind explique que "il va avoir plusieurs passages sur l'impression du braille pour que le blanc, par la suite, quand il passe au four, il gonfle." Ce processus technique illustre l'innovation et la créativité qui caractérisent son travail.
Une nuit avec des graffeurs dans le métro de Paris
L'artiste évoque également l'équilibre qu'il maintient entre la légalité et l'illégalité dans son art. Il affirme : "C'est un équilibre que j'ai trouvé aussi l'illégalité, ça me permet de me lâcher." Cette dualité lui permet d'exprimer librement ses idées tout en s'engageant dans des espaces institutionnels. En participant à des galeries et à des lieux d'exposition, il crée des opportunités de dialogue avec le public. The Blind conclut en disant que "je joue des deux et c'est ça qui fait je pense l'équilibre et la force de mon travail."
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].
