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Le premier restaurant certifié "sans plastique" au monde est français
Élimination du plastique à usage unique au Mirazur
Mauro Colagreco, chef du Mirazur, souligne l'importance de supprimer le plastique à usage unique dans son restaurant. Il explique que le plastique est une matière dérivée du pétrole qui contamine notre planète et les océans. Colagreco mentionne que "la moyenne à Nîmes consomme par semaine le poids d'une carte de crédit en plastique", ce qui est alarmant. Pour illustrer son engagement, il évoque la transformation de leur piscine, qui était auparavant en plastique et est maintenant en métal.
Il a ouvert un restaurant zéro déchet à Dakar
Le chef et son équipe ont remplacé les sacs-poubelles classiques par des sacs compostables, réduisant ainsi la quantité de plastique dans leur établissement. Il admet qu'il reste encore quelques plastiques, mais ils travaillent activement à les éliminer. Colagreco partage une expérience marquante lors de vacances au Mexique, où il a été confronté à une plage recouverte de déchets plastiques. Cette prise de conscience l'a poussé à agir et à changer les pratiques de son restaurant.
Un processus de transformation durable
La transition vers un restaurant sans plastique a nécessité des recherches approfondies et deux ans de préparation. Colagreco explique que "c'était totalement faisable" et que l'équipe a réussi à remplacer les contenants en plastique par des alternatives en inox. En 2018, le Mirazur consommait 10 000 km de film plastique, mais grâce à leurs efforts, ils sont passés à seulement deux rouleaux par mois.
La fin des emballages plastique à usage unique, on en est où ?
Le chef évoque également les défis rencontrés avec les fournisseurs pour les convaincre d'utiliser des contenants durables pour la nourriture. Ce combat pour la durabilité s'étend également à leur jardin, où ils cultivent environ 60 à 65 % des légumes utilisés dans le restaurant. Colagreco insiste sur l'importance de consommer local et de ne pas utiliser de pesticides, affirmant que "nous faisons partie de cette chaîne alimentaire". Il conclut en soulignant la nécessité de repenser notre relation avec la nature et de réduire notre consommation excessive.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].