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Le num banh chok, plat typique de la cuisine cambodgienne, par le chef Sok

BRUT FOOD — Le num banh chok, c'est un plat typique de la cuisine cambodgienne : "un ragoût, un peu curry de poisson, avec plein d'épices, plein d'herbes…". Sok est chef cuisinier et pour Brut, il a décidé de préparer ce plat qu'il mange depuis 30 ans et dont il a hérité la recette de sa maman. Notre journaliste Mina Soundiram était en cuisine avec lui.
Publié le
17
/
03
/
2024

Le num banh chok : un plat emblématique


Sok, chef cuisinier, partage sa passion pour le num banh chok, un plat cambodgien qu'il consomme depuis 30 ans. Il explique : "C'est un ragoût, un peu curry de poisson, avec plein d'épices, plein d'herbes…". Ce plat est omniprésent dans les rues du Cambodge, et Sok a hérité de cette recette de sa mère. Il souligne l'importance des ingrédients frais et authentiques, en mentionnant qu'il a rapporté de la pâte de poisson fermentée directement du Cambodge, car "c'est vraiment typique de notre cuisine".

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En cuisine, il décrit le processus de préparation, en insistant sur l'utilisation de poisson chat, qui est difficile à trouver en France. Il a donc opté pour du bar de ligne. Sok évoque également le cruang, un mélange d'aromates qui comprend de la citronnelle et du curcuma, ainsi que des fleurs de bananier, des crudités et de la citronnelle, qui sont essentielles pour le goût du plat. Il explique que les fleurs de bananier sont un marqueur typique de cette recette, souvent trouvées dans les épiceries asiatiques.


La préparation du num banh chok


Sok détaille les étapes de la préparation du num banh chok, en commençant par la cuisson du poisson. Il mentionne que pour bien dégager les arômes, il faut "faire la caisse avec tes doigts". Il se remémore comment sa mère préparait ce plat, en ajoutant : "Dans ma famille, les garçons adorent ce plat, surtout mon papa". Il raconte qu'il a mangé ce plat presque tous les jours lors de son dernier séjour au Cambodge.

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Sok explique aussi que le nom de pochop fait référence à la vermicelle de riz utilisée dans le plat. Il précise qu'il utilise des ingrédients frais, comme trois bâtons de citronnelle et trois gousses d'ail, pour donner du goût. En parlant de son parcours, il mentionne qu'il a commencé à cuisiner après avoir quitté son ancien métier dans la musique, et qu'il a appris à cuisiner grâce à des chefs et des camarades. Il aspire à ouvrir son propre restaurant, où il pourrait partager sa passion pour la cuisine cambodgienne et française.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].