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Dans la voiture du coach Cofidis pendant le Tour de France
"L'objectif ? Gagner une étape, n'importe laquelle, le plus vite possible."
Au foot, le coach est sur le banc de touche au plus près des joueurs. Pendant le Tour de France, il est en voiture, connecté à ses équipes pour adapter la stratégie en temps réel. On est monté à bord de la voiture de Thierry Marichal, le directeur sportif de l'équipe Cofidis, pendant l'étape 13 du Tour entre Agen et Pau. Et parfois, tout ne se passe pas comme prévu.
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La stratégie du coach
Thierry Marichal, directeur sportif de l'équipe Cofidis, explique que pendant le Tour de France, la stratégie doit être adaptée en temps réel. Il mentionne : "Vous avez vu, on était en 6 pistes par échappée oui. C'était pas prévu ? Regarde, putain c'est quoi ça ?
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25 mecs, personne." Cela souligne la nécessité d'une réactivité rapide face aux imprévus de la course. Marichal souligne également l'importance de la communication avec ses coureurs : "On espère juste que les autres sont capables de boucher le trou et qu'on soit attentifs à réagir mais c'est plutôt mal à manger." Il décrit également les conditions de la course, notamment le vent et le terrain : "Ici on a un départ avec des longs faux plats, avec un vent latéral qui vient de droite, assez fort." La stratégie pour cette étape est d'être actif dès le début, en surveillant les équipes susceptibles d'être intéressées par un sprint à l'arrivée. "Aujourd'hui on va essayer d'être actifs en début d'épreuve, en pistant quelques équipes qui pourraient... éventuellement être intéressé par un sprint à l'arrivée," dit-il.
Les objectifs de l'équipe
L'objectif principal de l'équipe Cofidis est clair : "Gagner une étape ? Une étape ? Oui. N'importe laquelle ? Laquelle ?
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La vie de possible." Cependant, Marichal admet que la maladie a impacté leur performance, ce qui complique les choses. "Malheureusement, la maladie s'est jouée des tours et on a plombé deux très bonnes cartes," explique-t-il. En regardant vers l'avenir, il est conscient que les possibilités de victoire diminuent : "Les possibilités se réduisent jour après jour. On va arriver en haute montagne." Il reconnaît que la concurrence est rude, en particulier avec les coureurs favoris qui se battent pour les positions de tête. "On sait comment les favoris se bataillent en ce moment dans les grands camps. Et on a pas d'âme pour pouvoir rivaliser," conclut-il.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].