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Un jour avec un laveur de vitres à La Défense

Descendre en rappel le long des gratte-ciel pour laver les vitres, c'est le métier de Louis. Il est cordiste. Brut l'a suivi au sommet de la tour Défense 2000.
Publié le
19
/
10
/
2021

Le métier de cordiste


Louis, un cordiste, exerce son métier au sommet de la tour Défense 2000, la plus haute tour d'habitation de France. Il explique que le travail de nettoyage des vitres en hauteur nécessite une préparation rigoureuse et un équipement de sécurité adéquat. Il mentionne : "C'est hyper solide, on n'a pas la prime de sécurité parce que c'est vraiment très sécurisé." Pour lui, la sécurité est primordiale, et il souligne l'importance d'avoir un plan de prévention pour justifier les méthodes de travail.

À 30 mètres de haut avec un lignard

Louis a commencé ce métier après avoir pratiqué l'escalade et la montagne, ce qui lui a permis de développer une certaine aisance en hauteur. Il partage son expérience en disant : "C'est surtout le sentiment d'adrénaline." Pour lui, le nettoyage des vitres devient presque une forme de méditation, où il répète des mouvements tout en étant suspendu dans le vide. "Ça peut passer 2h et ça finit, tu ne te rends même pas compte," ajoute-t-il, illustrant ainsi la concentration nécessaire à son travail.


La routine quotidienne


Au cours de sa journée, Louis travaille en équipe avec Diego, et ils se trouvent au quarante-cinquième étage, où ils continuent leur tâche. Louis évoque le quotidien des cordistes, qui consiste à descendre en rappel le long des gratte-ciel. Il explique que leur travail est souvent sous-estimé, mais qu'il offre une perspective unique sur la vie urbaine. "Tu vois le quotidien des gens finalement, on est ensemble," dit-il, soulignant le lien entre leur travail et la vie des citadins.

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Leur routine est rythmée par des pauses et des moments de détente, comme écouter de la musique pendant qu'ils descendent. Louis mentionne également les défis liés aux conditions météorologiques, comme le vent qui peut rendre le travail plus difficile. "Le vent a commencé à souffler, m'a fait tourner," raconte-t-il, illustrant les imprévus auxquels ils doivent faire face. Malgré ces défis, il apprécie son métier et la vue imprenable qu'il offre sur la ville.


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante: [email protected].